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L’école des piqueux

On devenait jadis piqueux « de père en fils » ou encore en démarrant comme valet de chien. Les équipages étaient jadis plus riches. Ils pouvaient compter trois personnes salariées dont l’un finissait par devenir piqueur en remplaçant un départ. Les choses ont bien changé et les recrutements sont délicats. C’est pour répondre à ces changements que vient d’être crée l’Ecole des piqueux dont le but est de former des « Techniciens canin et équin en vènerie » mais aussi de promouvoir la pratique de la vènerie.

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Il était piqueux lors des chasses à courre

27 avril 2024
Ancien piqueux de chasse à courre, Dominique Guivarch a confié ses souvenirs sur un métier-passion pratiqué pendant dix ans dans l’équipage de la duchesse de Magenta dans la forêt de Beaumont-le-Roger.

Alors que l’église Saint-Nicolas de Beaumont-le-Roger accueille aujourd’hui une messe de la Saint-Hubert rythmée par les sonneurs de trompes en grande tenue, avant une exposition de trophées, Dominique Guivarch a confié ses souvenirs de piqueux. Le piqueux, ou piqueur, c’est le cavalier qui s’occupe de la meute, suit la bête et règle la course des chiens.Dans la maison de son enfance, en plein cœur de la forêt de Beaumont, Dominique Guivarch était aux premières loges pour contempler la vie foisonnante de ce milieu, et le passage coloré de l’équipage et de la meute. Un spectacle fascinant pour le petit garçon, qui a rapidement trouvé sa vocation : piqueux, autrement dit responsable de meute.

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Les trompes de chasse ont résonné

24 avril 2024
Mézilles. Concert des trompes de chasse du Rallye Puisaye. Selon son habitude, le Rallye Puisaye a attiré une belle foule autour du son vibrant de la trompe de chasse, lors d’un concert organisé par le club de l’Âge d’or mézillois, samedi, à l’église Saint-Marien de Mézilles.

À travers une vingtaine de fanfares, dont l’hallucinant carillon du Clocher dans le soir et plusieurs chants, le groupe a proposé de découvrir à la fois l’art du sonneur et son univers et toute la musicalité de cet instrument appartenant à la famille des cuivres. « Tout ce qu’on peut faire avec un tube de 4,545 mètres, s’est amusé à préciser Bernard Dablin, son président. C’est un échantillon de ce qu’on pratique habituellement : fanfares de circonstances, de lieux, d’animaux, qui se rapportent à la vénerie. Mais aussi fanfares de fantaisie en l’honneur de personnes, de lieux ou d’évènements particuliers. Car il y a eu une évolution et la trompe s’est adaptée. » Parmi les musiciens répartis en différents pupitres (chant, seconde, basse et radouci), les jeunes sonneurs ont fait la fierté de leurs aînés.

Le Rallye Puisaye sonne depuis plus de 60 ans. Comme chaque année, il participera au spectacle du château de Saint-Fargeau cet été et donnera, le 1 er  juin, un concert pour le cinquantenaire du jumelage avec Hermeskeil.

Un champion de trompe de chasse en masterclass avec les sonneurs à Méricourt-sur-Somme

13 avril 2024

Le village d’Étinehem-Méricourt vibre au rythme des trompes de chasse ce week-end. Samedi 13 et dimanche 14 avril, le sextuple champion international solo de trompe de chasse, Nicolas Dromer, anime une masterclass à Méricourt-sur-Somme. C’est la deuxième fois que le sonneur, originaire de la région Centre, dispense un cours en Picardie. En 2023, il était venu au Crotoy.

Cette année, c’est dans la salle des fêtes du village ou dans l’église de Méricourt que le sonneur livre ses conseils. Même si la trompe est un instrument de chasse, ici, elle est un instrument de musique à part entière. « Il faut faire attention à la résonance. Ça doit être beau ce qui sort de la trompe », explique le champion.

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Les opposants à la chasse à courre à bout de souffle durant la saison 2023-2024.

Parcourir nos forêts dans la fraîcheur de l’automne et la rigueur de l’hiver nécessite plus de motivation que la seule volonté d’entraver une chasse à courre. Il en faut de la détermination pour partir en forêt, par tous les temps, et y passer des journées entières. Les veneurs la trouvent dans leur passion pour le noble déduit, les ruses de l’animal qu’ils chassent et les capacités de leurs chiens à en triompher (ou pas…).

La passion triste des abolitionnistes revendiqués semble bien s’essouffler. C’est, du moins, ce que révèlent les chiffres, qui eux, contrairement à nos opposants, ne sauraient mentir. Sur trois ans, au 31 mars, le nombre d’opposants comptabilisés sur le terrain de nos chasses a diminué de 65%.

Il faut dire que, par-delà l’usure propre à l’exercice, les esprits les plus pervers pouvant eux-mêmes se lasser d’harceler les gens, les tromperies du petit clan réuni autour du leader picard moustachu ont fini d’être éventées par ceux qui, ingénument, avaient d’abord cru à leurs élucubrations.

Dans ce contexte facialement plus serein, les équipages demeurent attentifs à mener leurs laisser-courre dans le respect, non seulement bien sûr de la législation, mais aussi d’une harmonieuse cohabitation avec les autres activités de la nature. Car ne nous leurrons pas ! Nos opposants poursuivent en sous-main un travail de lobbying insidieux auprès de nos élus ; ils disposent, pour ce faire, d’appuis auprès d’idéologues animalistes déjà très introduits dans les arcanes du pouvoir. Dès lors, le combat n’est pas seulement celui de la préservation de la vènerie mais de notre patrimoine culturel face à une « cancel culture » qui ne se cache plus.

Montrer la mort

On a coutume de classer les motivations des opposants à la chasse à courre en deux catégories : la lutte des classes et le bien-être animal. On a démontré maintes fois que l’une et l’autre étaient de pures constructions de l’esprit et que la réalité était à l’exact inverse. Et pourtant l’opposition à la chasse à courre perdure ; n’y aurait-il pas à en chercher une autre raison ?

Dans l’ouvrage qu’il a récemment publié* et que, décidément, il faut lire, Charles Stépanoff déclare notamment : « La chasse à courre est en totale contradiction avec le statut de la mort dans notre société, à la fois camouflée et industrialisée. » Attardons-nous un instant sur cette remarque fondamentale, en nous limitant à la mort des animaux.

Que cette mort soit cachée, c’est certain. Il est bien loin le temps où la famille se réunissait dans la cour de la ferme pour voir « tuer le cochon », et c’est même devenu un hypothétique spectacle qui vaudrait le bûcher à ceux qui entreprendraient d’y faire assister de jeunes enfants. La mort est industrialisée aussi, afin de pourvoir aux besoins en alimentation carnée d’une population toujours plus nombreuse. Et c’est sans doute cette industrialisation qui a fait disparaitre la mort des animaux. On ne les voit pas mourir ; on ne les connaît pas ; on ne les reconnaît pas dans le conditionnement cellophané qu’on en fait. A ce prix, il est supportable de s’en nourrir. C’est l’idée de la mort qui est rejetée par nos contemporains.

Pour continuer à ne parler que des animaux, un vétérinaire témoignait récemment du comportement étrange des propriétaires au moment de la mort de leur chien, lorsqu’une piqure va abréger leurs ultimes souffrances. Très peu de ces maîtres sont auprès d’eux dans ces instants ; ils s’en remettent au praticien et « ne veulent pas voir ça ». Et pourtant, témoigne le vétérinaire, les yeux du chien désemparé qui sent la mort venir cherchent désespérément le maître à qui ils ont donné tout leur amour durant leur vie. N’est-elle pas là, la véritable cruauté, un maître qui refuse sa présence à son fidèle compagnon au seuil de la mort, par peur de s’en trouver attristé ? Fatal égoïsme !

Effectivement, la chasse à courre est l’exact inverse de ces lâchetés. Les veneurs se réunissent dans l’objectif de chasser et de prendre un animal qui va devenir « l’animal » de la journée, objet de la quête des chiens servis par les hommes, objet de l’admiration des hommes qui le chassent, spectateurs de son habileté à déjouer ses poursuivants comme de son courage physique. Un et un seul animal de chasse car, comme le dit le proverbe, on ne saurait courir deux lièvres à la fois. Une relation brève mais intense, admirative, respectueuse, se noue entre l’animal sauvage et ceux qui le chassent. Le voir vivant puis le voir mort si les chiens en triomphent sera le signe d’une journée réussie. L’animal sera fêté à la curée. On célébrera son combat, ses ruses, la capacité des chiens à en triompher. Autour des veneurs se réuniront les riverains, amis, propriétaires. Assurément, sa mort n’est pas cachée ; c’est même tout le contraire.

Au dîner qui suit la chasse, certains équipages ont coutume de placer la dépouille de l’animal pris au centre de la table. Rien de « barbare » là-dedans, mais encore une fois l’hommage à cet être sauvage qui a réuni les hommes dans sa quête pour un moment de partage.

Tout être vivant va mourir. Ceux que chasse la vènerie sont abondants dans nos campagnes et leur chasse ne met pas en péril la survie de leur espèce. En revanche leur régulation est nécessaire ; et si la part qu’y prend la chasse à courre est modeste, au moins rend-elle aux animaux qu’elle prélève l’hommage de l’Homme à la nature dans un cérémonial chargé de signification. Cela peut sembler dissonant dans la société moderne. Mais plutôt que de le condamner, il faudrait plutôt se réjouir de cette culture diversitaire dont nos « influenceurs » dominants ne cessent de vanter les mérites.

* « L’animal et la mort »  aux éditions de La Découverte.

Une saison empreinte de sérénité s’achève

La saison de chasse à courre 2023/2024 s’achève ce 31 mars

Durant plus de six mois, 350 équipages ont découplé dans toute la France, organisant près de 17 000 journées de chasse à courre. La vènerie est un acte de chasse naturel et la prédation en est la conclusion. Elle implique le respect des autres usagers de la nature et des ayants-droits des territoires : riverains, promeneurs et chasseurs à tir locaux. Le droit de suite n’est jamais acquis sans l’autorisation du propriétaire ; les veneurs y sont attentifs. La vènerie s’inscrit pleinement dans la gestion de l’équilibre agro-sylvo-cynégétique des massifs dans lesquels elle découple.

Formations d’intersaison

L’intersaison procure aux veneurs l’opportunité de renforcer leurs compétences grâce au programme des formations proposées par la Société de Vènerie. Toujours progresser dans la gestion de leurs chiens et de leurs chevaux, dans le respect du bien-être animal, telle est bien la ligne de conduite que les veneurs se sont fixée. Ces formations très pratiques complètent l’information réunie sur les chiens de vènerie et les chevaux de chasse dans les pages de venerie.org.

Nouveauté 2024, la Société de Vènerie, en partenariat avec la Maison Familiale Rurale de Bournezeau (Vendée), crée une formation dédiée à ses professionnels, les hommes de vènerie : technicien canin et équin en vènerie. Elle garantit ainsi la qualification de ses professionnels de demain. La formation est fondée sur un contrat de professionnalisation, en alternance dans un équipage et à la Maison Familiale de Bournezeau en Vendée, où des cours sont prodigués par des enseignants qualifiés et des veneurs autour de trois thématiques :

• Chiens : entretenir, élever, soigner et éduquer des chiens de meute au sein d’un équipage

• Chevaux : réaliser les soins des chevaux et les préparer pour la pratique de la chasse

• Vènerie : se familiariser avec les protocoles spécifiques à la pratique de la vènerie

Présidence de la Grande Meute

Depuis décembre 2023, la vènerie a la responsabilité de la Grande Meute, qui réunit, avec la Société Centrale Canine, les associations qui chassent avec des chiens courants : Société de Vènerie, Fédération des Associations de Chasseurs aux Chiens Courants, Association Française des Equipages de Vènerie Sous-Terre. Cette présidence dure 3 ans et tourne entre les différentes associations qui la composent.

La chasse aux chiens courants à tir, au bâton ou en vènerie, sur terre ou sous terre, est merveilleuse ; la Grande Meute en réunit les acteurs, une force de passionnés et d’éleveurs, qui mettent en commun leurs compétences cynophiles et cynégétiques.

La Société de Vènerie va préparer un grand rassemblement où, ensemble, nous montrerons la vitalité de la chasse aux chiens courants.

Les enjeux des élections européennes du 9 juin

Le dimanche 9 juin auront lieu les élections du Parlement européen. Les sensibilités les plus diverses y briguent un mandat et sont en mesure d’y être élues ; les veneurs seront attentifs à y envoyer des représentants qui sauront comprendre et défendre leur mode de vie / mode de chasse.

L’Assemblée générale de la Société de Vènerie et de ses associations sera organisée le samedi 25 mai à Fontainebleau, lors de la XXIIème édition de « Nature et Vènerie, la ruralité en fête. » Les veneurs y sont attendus nombreux.

La manifestation accueillera également, les samedi 25 et dimanche 26 mai, de nombreux événements célébrant la chasse à courre : Championnat de France du Cheval de Chasse, concours de trompe, Régionale d’Elevage du Club du Chien d’Ordre, cross des équipages.

Vénerie : une saison empreinte de sérénité s’achève

1er avril 2024

Pour la Société de Vénerie, la saison de chasse à courre 2023/2024 s’est achevée dimanche. L’occasion de faire un point.

La Société de Vénerie présente un petit bilan de cette saison et évoque ce qui va se dérouler en 2024.

Une belle saison pour la vénerie : Durant plus de six mois, 350 équipages ont découplé dans toute la France, organisant près de 17 000 journées de chasse à courre. La vènerie est un acte de chasse naturel et la prédation en est la conclusion. Elle implique le respect des autres usagers de la nature et des ayants droits des territoires : riverains, promeneurs et chasseurs à tir locaux. Le droit de suite n’est jamais acquis sans l’autorisation du propriétaire. Les veneurs y sont attentifs. La vènerie s’inscrit pleinement dans la gestion de l’équilibre agro-sylvo-cynégétique des massifs dans lesquels elle découple.

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La saison de chasse à courre s’achève dans l’Allier : « Un spectacle naturel où l’animal gagne le plus souvent »

26 mars 2024

Les équipages de chasse à courre de l’Allier vivent la dernière semaine de leur saison 2023-2024. Cet art peut attirer plus de deux cents spectateurs en forêt, venus apprécier l’intelligence des chiens et celle de la faune sauvage.

La chasse à tir a cessé le 29 février dans l’Allier, sauf pour les sangliers dont les battues ont été prolongées jusqu’au 31 mars.

Une autre chasse s’achève ce dimanche soir, minoritaire mais spectaculaire, la chasse à courre, à cor et à cri. Une tradition encore vive dans l’Allier que la fédération compte défendre.

« Ici, la vénerie est pratiquée dans les règles de l’art et par tous les milieux sociaux, il ne faut pas importer des problèmes de la région parisienne », expose le président des chasseurs de l’Allier, Jean-Pierre Gaillard.

Le département de l’Allier concentre une diversité d’équipages de vénerie impressionnante.

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Ce dimanche 31 mars, les chiens retrouveront leurs chenils et les uniformes leurs penderies

25 mars 2024

La saison de chasse à courre s’achève

La chasse à tir a cessé le 29 février dans l’Allier, sauf pour les sangliers dont les battues ont été prolongées jusqu’au 31 mars. Une autre chasse s’achève ce dimanche soir, minoritaire, mais spectaculaire, la chasse à courre, à cor et à cri. Une tradition encore vive dans l’Allier que la fédération compte défendre. « Ici, la vénerie est pratiquée dans les règles de l’art et par tous les milieux sociaux, il ne faut pas importer des problèmes de la région parisienne », expose le président des chasseurs de l’Allier, Jean-Pierre Gaillard. Le département de l’Allier concentre une diversité d’équipages de vénerie impressionnante. « Il existe des dizaines d’équipages dans l’Allier. Chacun est spécialisé dans une espèce, car les chiens sont créancés pour lancer un animal en particulier, c’est-à-dire éduqués pour débusquer soit le cerf, soit le chevreuil, soit le sanglier, le lapin ou le lièvre, etc. Il passera sans un regard à côté d’un animal qu’il n’a pas appris à lancer », expose Jean-Pierre Gaillard. Et le président des chasseurs de s’inscrire en faux contre l’opprobre jetée parfois sur cette pratique, « loin d’être cruelle et sanguinaire comme certains aimeraient le faire croire ».

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Chasse à courre

Logo de Le Petit Journal – Haute–Garonne(Toulouse)21 mars 2024

Après une saison fructueuse de chasse au sanglier à tir en battue, place à une chasse à courre. Comme chaque année, l’équipage Comminges-Barousse de Garac (31), conduit par Jacques Pollini, est venu sur le territoire de Cassagnabère, et des communes voisines que l’animal poursuivi a choisi de traverser.

Le rendez-vous a eu lieu sur la place du village à 9 h 30 après avoir fini la recherche du pied, un déjeuner est à l’honneur. A 10 h 30 l’équipage en tenue d’apparat se prépare et les 55 chiens se dégourdissent, avant de les trier entre les 1er au départ et la meute qui sera lâchée plus loin après avoir lancé le sanglier. Les cors de chasse animent la place, ensuite un petit discours du maître d’équipage Jacques Pollini et le Président de chasse de Cassagnabère Christophe Cardaillac, les consignes de sécurité ont été donnés, la chasse peut-être lancée, les 3 chevaux partiront en parallèle des chiens, des Anglo Français Tricolore de 2 à 6 ans. Après une longue poursuite le sanglier n’a pas été pris. L’équipage fêtera ses 30 ans l’année prochaine.

La Futaie des Amis comprend l’exaspération de ses chasseurs

20 mars 2024

Thomas Drach, membre de la Futaie des amis, et fils du maître d’équipage, Alain Drach, a réagi sur France 3, après la polémique succédant à la gifle reçue par une militante anti-chasse en forêt de Compiègne le 2 mars. Une ecuyère de la Futaie des amis avait giflé une militante du collectif AVA (Abolissons la Vénerie Aujourd’hui), sous l’œil d’une caméra qui avait tout enregistré. Si la scène fait depuis le buzz médiatiquement, avec des centaines de milliers de vues sur les réseaux sociaux, nous n’avions pas réussi à joindre Alain Drach après l’incident. C’est son fils, porte-parole officieux et habituel qui a répondu, rejetant d’emblée le caractère violent de son équipage.«Si on était vraiment très violents, ça ferait longtemps qu’ils(AVA, Ndlr)nous suivraient plus. C’est précisément parce que c’est pas violent et qu’ils peuvent venir et qu’ils viennent inlassablement», a-t-il expliqué sur France 3. Un Thomas Drach qui toutefois ne conteste pas la réalité de la gifle assenée en début de mois. Même s’il veut y trouver des circonstances atténuantes : « Je comprends l’exaspération qui mène à ce geste-là, à défaut de l’excuser », explique-t-il. « Je peux déplorer le geste tout en comprenant d’où il vient », commente le veneur.

Oise Hebdo