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Jean Bocquillon nous a quittés

Jean Bocquillon nous a quittés dans sa 97ème année mardi dernier. Après avoir été bouton d’équipages picards chassant le cerf, il a été pendant de nombreuses saisons Maître d’équipage de l’Equipage Pic’Ardie Valois qui chassait le chevreuil en forêt de Compiègne et qui a démonté en 1997.

Nos pensées vont vers sa famille dans cette triste épreuve. Ses funérailles auront lieu jeudi 12 janvier à 14h30 en l’église de Baron (Oise)

Michel Liégeon nous a quittés

Michel Liégeon, Maître d’Equipage du Rallye de la Grand’Combe, est décédé hier mercredi 14 décembre.

Michel, homme de chien passionné et tout particulièrement dans la race des Chiens Blancs du Roy, avait créé son équipage dans le Jura en 1976 pour d’abord chasser le lièvre puis le chevreuil à partir de 1991.

Nos pensées vont vers sa famille dans cette douloureuse épreuve. Ses funérailles auront lieu samedi 17 décembre à 15h00 en l’église de Pont de Poitte (Jura)

Chasse du 29 octobre en forêt d’Halatte : le cerf n’a pas été tué en ville.

Le samedi 29 octobre, le cerf chassé en forêt d’Halatte par le Rallye Trois Forêts a pris l’eau dans l’Oise au niveau de la commune de Beaurepaire avant d’en ressortir. Le cerf a été tué sur la commune de Beaurepaire en pleine zone rurale, dans une propriété privée loin de toute habitation et avec l’accord des propriétaires.

 

Une fois encore, les opposants de la chasse à courre s’obstinent à propager des rumeurs diffamatoires pour alimenter leur propagande liberticide. Nous sommes stupéfaits que les médias reprennent in extenso ces mensonges éhontés, ce qui s’apparente à une désinformation calomnieuse.

 

A l’issue de cette journée, le maire de Pont-Sainte-Maxence a déposé plainte pour non-respect de son arrêté municipal. Nous sommes très surpris par ce dépôt de plainte d’un maire qui a visiblement été manipulé et qui se base sur des évènements n’ayant en rien enfreint les règles.

 

Devant une telle désinformation et une telle calomnie, la Société de Vènerie se réserve la possibilité de porter plainte en diffamation contre AVA et affirme son soutien au Rallye Trois Forêts dont tout porte à penser qu’il a respecté l’ensemble de la réglementation en vigueur.

Un veneur au Tribunal de Compiègne : l’instrumentalisation dénoncée par la Procureure

Ce vendredi 14 octobre, le piqueux professionnel de la Futaie des Amis comparaissait au tribunal de Compiègne, à la suite d’accusations proférées par une militante anti-chasse, qui avait déposé plainte pour « violence avec arme ». Ils sont une poignée à s’obstiner à perturber les chasses en forêt de Compiègne, tentant de bloquer les chiens des veneurs et leurs chevaux, et prenant tous les risques, au mépris des arrêtés préfectoraux pris dans le but d’assurer la sécurité de la pratique de la chasse. Bravant le droit, ces militants n’hésitent cependant pas à recourir aux tribunaux pour dénoncer ceux-là même qu’ils harcèlent systématiquement.

Une jeune femme aurait été bousculée par le cheval du salarié de l’équipage, le samedi 13 novembre 2021. Durant l’audience, une vidéo présentée à charge ne permet pas de démontrer, ni l’intentionnalité, ni la réalité des violences évoquées. Une description assez confuse des faits, l’absence de dommages corporels, la partialité du seul témoignage fourni, la non-présentation des autres vidéos prises par les militants anti-chasse, l’absence de toute demande de dommages intérêts par la plaignante qui s’est pourtant constituée partie civile, laissent penser que ce procès n’est pas le procès d’un incident, mais bien un procès politique à charge contre la vènerie.

La Procureure du Tribunal de Compiègne souligne l’instrumentalisation de ce procès par les militants anti-chasse et appelle à la responsabilisation de chacun. Il est, de fait, regrettable que ces animalistes encombrent ainsi les tribunaux.

Le délibéré sera rendu le 15 novembre.

La Société de Vènerie apporte tout son soutien à Pierre-Antoine, à sa famille et à l’équipage le plus gêné par le harcèlement des activistes anti-chasse.

Reprise de la chasse à courre le 15 septembre dans toute la France

La saison de la chasse à courre va ouvrir ce jeudi 15 septembre pour 390 équipages dans les 70 départements où elle est pratiquée. Depuis un mois, l’entraînement des 30 000 chiens de vènerie et des 7 000 chevaux les prépare dans les meilleures conditions à cette reprise.

C’est dans un esprit de cohabitation harmonieuse avec l’ensemble des acteurs de la vie rurale que les veneurs reprennent le chemin des bois et des prairies. La vènerie a toujours su s’adapter à son environnement pour assurer sa pérennité. Cet environnement lui est très majoritairement favorable, n’en déplaise à ses détracteurs, car elle constitue, durant six mois et demi dans les régions rurales où elle est pratiquée, un pôle fort d’animation et de rencontre.

La société évolue ; le bien-être animal constitue une préoccupation croissante de nos contemporains. Dans ce contexte, les veneurs ont à cœur de faire connaître la part qu’ils prennent au bien-être animal. Leur rôle est très éloigné des clichés que les animalistes véhiculent dans le cadre d’une propagande insidieusement orchestrée, tout entière orientée sur l’émotion au détriment de la connaissance. Une documentation a été conçue pour partager cette connaissance et rétablir quelques vérités : « vènerie & bien-être animal » est disponible sur simple demande à communication@venerie.fr

 

La philosophie nous enseigne à douter de ce qui nous paraît évident.

La propagande, au contraire, nous enseigne à

accepter pour évident ce dont il serait raisonnable de douter.

(Aldous Huxley)

Robert Hénault nous a quittés

Robert Hénault, maître d’équipage du Vautrait des Landes, nous a quitté brutalement samedi dernier. Homme de chien passionné et passionnant, éleveur renommé et excellent veneur de sanglier, il a su créer un solide encrage de territoires dans de nombreuses ACCA du massif landais grâce à sa gentillesse et sa générosité. Nos pensées vont vers sa famille dans cette douloureuse épreuve. Ses funérailles auront lieu jeudi 21 avril à l’Eglise de Sore (Landes).

Fête du chien courant et de la nature

Pour son redémarrage l’AFACCC 40 a décidé d’organiser une fête du Chien Courant et de la Nature le samedi 28 mai, à Ousse-Suzan.

Cette manifestation sera l’occasion de se retrouver entre chasseurs mais aussi d’échanger de notre passion, la chasse aux chiens courants.

Au programme : exposition de chiens, messe de Saint Hubert, concours de trompes, ballades en calèche, présentations d’associations, activités pédagogiques, présentations d’équipages, spectacle de vènerie. 

Festival chien & cheval

Concours amical de cheval de chasse le samedi 2 juillet 2022. Organisé par l’Association Festival chien cheval, ce concours amical sera encadré par Pierre-François Prioux et d’autres bénévoles juges. Pour plus d’informations, contacter Héléne Lalande en cliquant ici

Portes ouvertes du Rallye de la Forêt de Chaux

À l’occasion de son 40ème anniversaire, le Rallye de la Forêt de Chaux ouvrira ses portes au public à partir de 9h30. Cette opération vise à accueillir tous les publics, amateurs de chasse ou de nature, passionnés de chiens, de chevaux, sonneurs, mais aussi voisins ou simples curieux. En organisant cette journée portes ouvertes (GRATUITE), l’équipage affiche sa volonté de s’ouvrir vers l’extérieur et dans le souci de mieux se faire connaître. Cette journée vous permettra de découvrir le monde de la vénerie, la vie d’un équipage, d’une meute, le savoir faire des veneurs… 

Diffamation et fantasmes de ses opposants : la Société de Vènerie réagit

Le cerf blessé que l’équipage de Bonnelles Rambouillet a chassé ce mardi 22 mars souffrait d’une grave blessure à l’un de ses membres qui handicapait lourdement sa locomotion. Il s’est rapidement arrêté contre le mur d’une propriété isolée de Grosrouvre (Yvelines). Les tentatives de le renvoyer en forêt étant demeurées vaines, l’animal a été abattu sur ordre de l’Autorité Publique comme le prévoit la loi. Deux opposants présents sur place ont admis la nécessité d’abréger les souffrances de ce cerf blessé.

La propagande des opposants à la chasse à courre ne connaît pas de limite. Pierre Rigaux, militant déclaré contre la chasse, se saisit donc de ce fait divers, donnant libre cours à ses propres fantasmes. Il invente une dramaturgie digne d’un film d’horreur et sort en quelques heures une vidéo à la mise en scène choisie : musiques angoissantes, voix d’outre-tombe, vocabulaire morbide, tout est fait pour plonger le spectateur dans une atmosphère sinistre.

Rigaux multiplie les diffamations. Si les forces de l’ordre sont sur place, ce n’est pas du fait de cet incident mais pour contenir les quelques opposants à la chasse à courre qui s’obstinent à en perturber le déroulement. La scène n’est pas chaotique mais parfaitement maîtrisée par les veneurs, hormis l’agitation d’une opposante animaliste. Si l’animal est servi à l’arme blanche, c’est pour éviter tout risque balistique lié à l’usage d’une arme à feu à proximité d’une route et d’une habitation. La mort de l’animal est rapide ; il a parcouru quelques mètres, sans qu’il soit besoin de « l’achever ». Enfin, les veneurs ne sont pas repartis « traquer un deuxième cerf dans la forêt », en dépit de ce qu’affirme Rigaux, suggérant un comportement contraire à notre éthique.

Pas en reste, AVA Rambouillet se réfère à l’arrêté du 25 février 2019 modifiant l’arrêté du 18 mars 1982 relatif à l’exercice de la vénerie et visant à limiter les incidents en fin de chasse à proximité des lieux habités. AVA oublie, au passage, d’en mentionner la conclusion : « L’autorité publique évalue la situation et décide de faire procéder à l’anesthésie de l’animal par le vétérinaire, aux frais de l’équipage, ou à défaut, de procéder à sa mise à mort. » Ce fut le cas mardi à Rambouillet.

Enfin, Le Parisien, dans son édition des Yvelines, reprenant sans nuance la rhétorique d’AVA, donne essentiellement la parole à la militante évoquée plus haut. Elle se dit traumatisée tout en affirmant avoir filmé sans relâche la scène prétendument traumatisante ; curieux paradoxe ! La conclusion de l’article revient fort heureusement à la Gendarmerie des Yvelines : « Face à l’état désespéré dans lequel se trouvait cet animal, la décision de laisser un chasseur abréger ses souffrances a finalement été prise… un choix collectif, pragmatique… il nous a semblé qu’il valait mieux en finir rapidement. »

Cet épisode démontre que la chasse à courre est la plus naturelle : les chiens chassent instinctivement d’abord les animaux malades, blessés ou moins rusés, et favorisent ainsi la bonne santé de l’espèce. Lorsque l’animal est pris, le veneur – c’est sa seule intervention – met tout en œuvre afin que sa mort soit rapide et sans souffrances inutiles.

Rappelons enfin que, chaque année, les chasseurs prélèvent notamment 70 000 cervidés, afin de rendre possible la coexistence de ces animaux magnifiques avec les activités humaines : agriculture, sylviculture, circulation routière, activités urbaines.

Mardi 22 mars en forêt de Rambouillet : la chasse d’un cerf blessé écourtée sans incident

Le cerf que l’équipage de Bonnelles Rambouillet a attaqué ce mardi 22 mars souffrait d’une grave blessure à l’antérieur gauche qui handicapait lourdement sa locomotion. Après une courte chasse, il est sorti de la forêt de Rambouillet et s’est arrêté contre le porche fermé d’une propriété de Grosrouvre (Yvelines).

Constatant la blessure de l’animal, les gendarmes présents sur les lieux ont pris la décision de faire abattre l’animal. Deux opposants à la chasse à courre, présents dans ces instants, sont convenu eux-mêmes de la nécessité d’abréger les souffrances de ce cerf blessé.

Après que le périmètre a été sécurisé, et avec l’accord du propriétaire, l’animal a donc été servi à l’arme blanche, préservant ainsi de tout risque de dommage collatéral.

La journée s’est terminée sans aucun incident.

Explication : il est courant et naturel qu’une meute de chiens privilégie, dans sa quête, un animal blessé. Les chiens de vènerie poursuivent le sentiment – l’odeur – que laisse l’animal chassé sur son passage. Un animal blessé laisse une odeur distinctive que l’instinct de prédation des chiens détectent immédiatement. D’une certaine manière, la vènerie assume ainsi le rôle qu’avaient les grands prédateurs qui ont disparu de nos forêts.