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La saison de chasse à courre s’achève dans l’Allier : « Un spectacle naturel où l’animal gagne le plus souvent »

26 mars 2024

Les équipages de chasse à courre de l’Allier vivent la dernière semaine de leur saison 2023-2024. Cet art peut attirer plus de deux cents spectateurs en forêt, venus apprécier l’intelligence des chiens et celle de la faune sauvage.

La chasse à tir a cessé le 29 février dans l’Allier, sauf pour les sangliers dont les battues ont été prolongées jusqu’au 31 mars.

Une autre chasse s’achève ce dimanche soir, minoritaire mais spectaculaire, la chasse à courre, à cor et à cri. Une tradition encore vive dans l’Allier que la fédération compte défendre.

« Ici, la vénerie est pratiquée dans les règles de l’art et par tous les milieux sociaux, il ne faut pas importer des problèmes de la région parisienne », expose le président des chasseurs de l’Allier, Jean-Pierre Gaillard.

Le département de l’Allier concentre une diversité d’équipages de vénerie impressionnante.

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Ce dimanche 31 mars, les chiens retrouveront leurs chenils et les uniformes leurs penderies

25 mars 2024

La saison de chasse à courre s’achève

La chasse à tir a cessé le 29 février dans l’Allier, sauf pour les sangliers dont les battues ont été prolongées jusqu’au 31 mars. Une autre chasse s’achève ce dimanche soir, minoritaire, mais spectaculaire, la chasse à courre, à cor et à cri. Une tradition encore vive dans l’Allier que la fédération compte défendre. « Ici, la vénerie est pratiquée dans les règles de l’art et par tous les milieux sociaux, il ne faut pas importer des problèmes de la région parisienne », expose le président des chasseurs de l’Allier, Jean-Pierre Gaillard. Le département de l’Allier concentre une diversité d’équipages de vénerie impressionnante. « Il existe des dizaines d’équipages dans l’Allier. Chacun est spécialisé dans une espèce, car les chiens sont créancés pour lancer un animal en particulier, c’est-à-dire éduqués pour débusquer soit le cerf, soit le chevreuil, soit le sanglier, le lapin ou le lièvre, etc. Il passera sans un regard à côté d’un animal qu’il n’a pas appris à lancer », expose Jean-Pierre Gaillard. Et le président des chasseurs de s’inscrire en faux contre l’opprobre jetée parfois sur cette pratique, « loin d’être cruelle et sanguinaire comme certains aimeraient le faire croire ».

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Chasse à courre

Logo de Le Petit Journal – Haute–Garonne(Toulouse)21 mars 2024

Après une saison fructueuse de chasse au sanglier à tir en battue, place à une chasse à courre. Comme chaque année, l’équipage Comminges-Barousse de Garac (31), conduit par Jacques Pollini, est venu sur le territoire de Cassagnabère, et des communes voisines que l’animal poursuivi a choisi de traverser.

Le rendez-vous a eu lieu sur la place du village à 9 h 30 après avoir fini la recherche du pied, un déjeuner est à l’honneur. A 10 h 30 l’équipage en tenue d’apparat se prépare et les 55 chiens se dégourdissent, avant de les trier entre les 1er au départ et la meute qui sera lâchée plus loin après avoir lancé le sanglier. Les cors de chasse animent la place, ensuite un petit discours du maître d’équipage Jacques Pollini et le Président de chasse de Cassagnabère Christophe Cardaillac, les consignes de sécurité ont été donnés, la chasse peut-être lancée, les 3 chevaux partiront en parallèle des chiens, des Anglo Français Tricolore de 2 à 6 ans. Après une longue poursuite le sanglier n’a pas été pris. L’équipage fêtera ses 30 ans l’année prochaine.

La Futaie des Amis comprend l’exaspération de ses chasseurs

20 mars 2024

Thomas Drach, membre de la Futaie des amis, et fils du maître d’équipage, Alain Drach, a réagi sur France 3, après la polémique succédant à la gifle reçue par une militante anti-chasse en forêt de Compiègne le 2 mars. Une ecuyère de la Futaie des amis avait giflé une militante du collectif AVA (Abolissons la Vénerie Aujourd’hui), sous l’œil d’une caméra qui avait tout enregistré. Si la scène fait depuis le buzz médiatiquement, avec des centaines de milliers de vues sur les réseaux sociaux, nous n’avions pas réussi à joindre Alain Drach après l’incident. C’est son fils, porte-parole officieux et habituel qui a répondu, rejetant d’emblée le caractère violent de son équipage.«Si on était vraiment très violents, ça ferait longtemps qu’ils(AVA, Ndlr)nous suivraient plus. C’est précisément parce que c’est pas violent et qu’ils peuvent venir et qu’ils viennent inlassablement», a-t-il expliqué sur France 3. Un Thomas Drach qui toutefois ne conteste pas la réalité de la gifle assenée en début de mois. Même s’il veut y trouver des circonstances atténuantes : « Je comprends l’exaspération qui mène à ce geste-là, à défaut de l’excuser », explique-t-il. « Je peux déplorer le geste tout en comprenant d’où il vient », commente le veneur.

Oise Hebdo

Homme de Vénerie : un métier à part entière

Il y a quelques mois, était lancé le projet de concevoir une formation spécifique pour les hommes, et les femmes, de vènerie : l’école des piqueux.

Excellente initiative de la Société de Vénerie qui devrait permettre d’offrir à la chasse à courre, à ses pratiquants et à leur environnement un progrès significatif dans la formation de ses futurs professionnels : les hommes de vènerie.

Désormais la Société de Vènerie, en partenariat avec la Maison Familiale de Bournezeau offre à la chasse à courre un progrès significatif dans la qualification de ses professionnels : les hommes de vènerie. Elle propose une formation nouvelle : technicien canin et équin en vènerie.

Homme (ou femme) de vénerie : un métier qui associe travail et passion au quotidien

La vènerie compte dans ses rangs des jeunes passionnés de chasse, de chiens, de chevaux, qui souhaitent s’orienter vers le métier d’homme de vènerie, associant ainsi travail et passion. Chaque année une dizaine de postes sont à pourvoir en France.

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Vidéo : Comment sont nourris les chiens de chasse ?

17 mars 2024

Alors non, les chiens de chasse ne sont pas affamés pour mieux chasser. La preuve en vidéo.

Dans cette vidéo la Société de Vénerie ouvre les portes des chenils pour vous montrer comment sont nourris les chiens de chasse.

Bœuf, poulet, et féculents pour la bonne santé des chiens de chasse

« Si tous les Français, ils mangeaient comme nos chiens, on serait en bonne santé ». Une petite phrase qui casse les affirmations des anti-chasse. Plus sérieusement on découvre dans cette vidéo que les chiens de vénerie mangent de la viande, naturellement, et désossée s’il vous plait… Mais aussi des légumes. Enfin pas trop, juste ce qu’il faut, les chiens ne sont pas végans ! ! ! Sans oublier des féculents. Comme tous les sportifs, ils ont besoin de sucre lent pour fournir de l’énergie lorsqu’ils chassent.

Des élèves d’un lycée découvre la chasse à courre

15 mars 2024

C’est une super initiative qu’ont eu deux élèves d’un lycée agricole : faire découvrir la chasse à courre et la vénerie à leurs camardes.

La petite phrase « la chasse n’a pas besoin d’être défendue mais expliquée » trouve tout son sens dans cette opération de découverte du monde de la chasse à courre. On ne peut que féliciter les deux élèves du Lycée Agricole de Chaumont pour cette initiative.

« La chasse à courre : et si on en discutait ? »

Mi février, une cinquantaine d’ élèves d’un lycée agricole de Chaumont (Haute-Marne) a découvert la vènerie à l’Abbaye du Val des Choues.

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Chassiecq : Chasse à courre au sanglier

La société de chasse de Chassiecq a organisé samedi dernier une chasse à courre au sanglier avec la participation de l’équipage Rallye Bernel de Patrick Touvenin de Gençay. À 10h30, trois chasseurs de Chassiecq et trois membres du rallye sont allés faire le bois à la recherche de traces. « Le rallye ne connaissant pas le secteur, cette opération était nécessaire », expliquait le président, Jean-Baptiste Galland. Dans l’après-midi, six cavaliers et la meute de 40 grands anglos-français se sont élancés à la poursuite des sangliers. « On est tombé sur une compagnie et finalement sur un sanglier de 30 kilos. Les chiens ont pris puis perdu », raconte le président de la société de chasse. Les chasseurs sont rentrés bredouilles mais ils ont pu se réconforter avec l’apéritif offert par le Rallye Bernel et avec le repas préparé par la société de chasse auquel s’étaient inscrits 67 convives.

Le camp militaire de Sissonne, près de Laon, va accueillir sa première chasse à courre

8 mars 2024

Une première motivée par la volonté de faire découvrir. Pascal Duguet, président des chasseurs du camp de Sissonne, organise pour la première fois une chasse à courre sur le site du camp militaire, ce dimanche 10 mars. « C’est une chasse comme une autre, trop méconnue, et qui fait moins de mal que la chasse à tir classique. Dans la chasse à courre, on ne blesse pas l’animal et il n’y en a qu’un de prélevé. Et puis, nous ne sommes plus du tout sur l’image d’une chasse réservée aux bourgeois. Elle regroupe toutes les classes », rapporte le président à nos confrères de L’Union.

Une enceinte de 6 000 hectares

La chasse se tiendra à l’intérieur des 6 000 hectares du camp militaire. « Pour accéder à l’intérieur de l’enceinte, il faudra être annoncé. Autre avantage, nous avons sur le site une forte présence de cervidés. Au départ, le cerf est un animal de steppes. C’est l’activité humaine qui l’a poussé en forêt, sinon un milieu relativement ouvert comme le camp militaire, lui va bien. »

Vigilance des voisins

La chasse à courre pourra-t-elle quitter le site ? « L’équipage a demandé à pouvoir suivre le gibier en dehors du camp. La chasse pourrait alors se terminer en forêt de Samoussy par exemple. Une chose que nous ne saurons que dimanche. » D’ailleurs, les riverains et voisins du camp devront faire preuve d’une certaine vigilance. Il se pourrait qu’ils croisent un groupe de cerfs, de chiens ou de cavaliers… ou les trois.

Une découverte de la vènerie

Logo de Le Châtillonnais

22 février 2024

Dans le cadre de leur Projet d’Initiatives et de Communication, épreuve obligatoire et évaluée pour l’obtention du BTS, Mathieu et Clara, les initiateurs de cette sortie pédagogique qui sont actuellement en BTS Productions Animales deuxième année au lycée agricole Edgard Pisani de Chaumont (Haute-Marne), ont choisi le thème de « la chasse à courre : et si on en discutait ? ». Mathieu, habitué de la chasse à courre à l’abbaye du Val des Choues, avait sollicité Daphné Fougea, référente Bourgogne-Est pour la Société de Vènerie et membre de l’équipage Piqu’avant Bourgogne de l’abbaye.

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Coupe de France des chiens courants dans la voie du chevreuil

Logo de Le Petit Journal Tarn-et-GaronneLes 23, 24 et 25 février se déroulera la coupe de France sur Chevreuil

C’est un concours chapoté par le club de race du chien : le porcelaine (club du porcelaine) et la Centrale canine.

Pas moins de 10 équipages avec leurs chiens ont été sélectionnés suite à leur participation aux brevets de chasse et concours de beauté tout au long de l’année, dans leur races respectives (Grand Gascon-Saintongois, Griffon Fauve de Bretagne, Bruno Saint Hubert Français, chien Artois, Ariégeois, Beagle, Porcelaine, Anglo-Français de petite vénerie).

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Et si on parlait de la chasse à courre ?

18 février 2024

Dans le cadre de leur projet PIC (Projet d’initiative et de communication), deux élèves du lycée agricole Pisani ont proposé à leurs camarades de découvrir la chasse à courre, une pratique qui ne fait pas l’unanimité.

Intitulé « La chasse à courre et si on en discutait », Clara Gouin et Mathieu Goussard, élèves en BTS 2 au lycée agricole Pisani , avait à cœur de partager leur passion. Pour Mathieu, pratiquant de cette discipline, « c’était une évidence d’informer sur cette chasse qui est plus respectueuse ». Passionnée de chevaux et plus particulièrement du devenir des chevaux de courses réformés, Clara pense que ce type de chasse est une bonne formule. Le but de cette sortie était aussi de faire découvrir le monde la vénerie. « L’idée n’étant pas d’en faire la promotion mais bien de permettre une ouverture d’esprit sur ce sujet », précisent-ils. (suite…)