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La vènerie est populaire dans notre région rurale

Le Châtillonnais – jeudi 17 jui. 2025

Dans le Châtillonnais et l’Auxois du 29 mai dernier, Michel Guillet, membre du Parti Animaliste, tient, sur la vènerie, la chasse en général et leurs pratiquants, des propos qui nous ont paru inappropriés et que nous souhaitons relever.

Ainsi, les chasseurs voudraient « chasser sans limites […] toutes les espèces, sans se soucier de leur état de conservation ». C’est faux à double titre : d’une part parce que la chasse est soumise à une règlementation stricte et les prélèvements sont précisément encadrés dans le cadre d’arrêtés préfectoraux révisés chaque année ; d’autre part parce que le plaisir des chasseurs étant de chasser (pardon pour ce pléonasme), ils sont, tout au contraire, très attentifs à la préservation de populations d’animaux sauvages en quantité suffisante pour pouvoir continuer de chasser durablement.

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Plus de 5 000 personnes attendues à la fête de la chasse, qui fête ses 30 ans en Sarthe

Ouest-France –  sam 5 juillet 2025

Concours national de saint-hubert, démonstration de chiens d’arrêt… Ce dimanche 6 juillet 2025, la fête de la chasse fait son retour au château des Sourches, à Saint-Symphorien (Sarthe). Et fêtera pour l’occasion les 30 ans de son existence.

C’est l’un des grands premiers rendez-vous de l’été en Sarthe. La fête de la chasse – et aussi de la pêche, de la nature et du cheval –, fait son retour ce dimanche 6 juillet 2025, au château des Sourches de Saint-Symphorien, à l’ouest du Mans. « Nous attendons plus de 5 000 personnes », annonce Manuela Letard, organisatrice de l’événement piloté par l’association Ruillé – Saint-Symphorien.

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Chasse. Piqueur : un métier qui a du chien

Le Journal de Saône et Loire – sam 5 juillet 2025

La Société de vénerie, en partenariat avec la Maison familiale de Bournezeau (Vendée), offre à la chasse à courre un progrès significatif dans la qualification de ses professionnels, en proposant une nouvelle formation : celle de technicien canin et équin en vénerie, pour devenir piqueur. Deux jeunes sont actuellement en apprentissage en Saône-et-Loire. 

À Saint-Marcelin-de-Cray, Emma Kerboeuf, au milieu d’une partie de la meute de l’équipage du Vautrait de Ragy.  Photo Jean-Pierre Tissier  (suite…)

Dampierre-et-Flée. Piqueux : une école pour apprendre le métier

Le Bien public – sam 5 juillet 2025

La Société de vénerie, en partenariat avec la Maison familiale de Bournezeau (Vendée), offre à la chasse à courre un progrès significatif dans la qualification des hommes et des femmes. L’école des piqueux propose, en effet, une formation de technicien canin et équin en vénerie. Deux futurs piqueux sont en apprentissage dans deux équipages, l’un en Saône-et-Loire et l’autre, entre Côte-d’Or et Jura.

Florian Longin en compagnie de ses deux maîtres d’apprentissage, François Dole, à sa droite, et Julien Hazotte, à sa gauche.  Photo fournie par le rallye Hourvari. (suite…)

Mais où sont les 72 % de français qui sont contre la chasse à courre ?

Le Chasseur français – mer. 1er juillet 2025

Régulièrement les antis chasse annoncent, sondages à l’appui, qu’au moins 4 français sur 5 sont contre la chasse à courre, sur le terrain ça ne se voit pas trop !!!

Le 14 juin dernier, Senlis accueille les 90 ans du musée de la vénerie et célèbre la chasse à courre. L’occasion est trop belle pour Stanislas Broniszewski, leader du mouvement AVA. Il appelle ses soutiens à venir faire une contre-manifestation. Le préfet, prudent, prend les devants et déploie un dispositif pour éviter les débordements. La journée se déroule dans une excellente ambiance. Mais à la fin du défilé, les militants tentent une action filmée. Ni une, ni deux, le leader d’AVA est embarqué par les forces de l’ordres.

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« 4 français sur 5 » veulent l’interdiction de la vènerie.

C’est en ces termes qu’AVA présentait les choses avant de féliciter « tous les habitants qui se sont levés samedi contre la barbarie chez eux », en guise de premier bilan de leur action de sabotage des 90 ans du Musée de la vènerie le samedi 14 juin dernier à Senlis.

Permettez-moi de faire les comptes :

Senlis compte environ 15 000 habitants. À en croire AVA donc, 12 000 d’entre eux appellent de leur vœux la fin de la chasse à courre. 12 000 personnes qui n’avaient qu’a passer le seuil de leur porte pour se joindre au cortège pour lequel AVA a battu un rappel national sur toutes ses plateformes.

Et c’est sans considérer les 650 000 autres anti-vèneries que compterait le département de l’Oise et qui auraient pu être de la partie, AVA ayant même tracté physiquement dans plusieurs villes, et organisé des covoiturages pour l’évènement.

Ni même rappeler qu’à moins de 50km de là vivent les millions d’antis de l’agglomération parisienne qui auraient pu, eux aussi, contribuer à faire grossir les rangs.

Et pourtant, ce ne sont que quelques dizaines de personnes qui se sont retrouvées derrière Stan pour agonir d’injures et de cris le défilé dans la vieille ville de Senlis des chiens de cinq des équipages de la région accompagnés de quelques veneurs en tenue, aux sons des trompes (la barbarie, vous dit AVA).

Aussi la conclusion est sans appel : Aucun de ces sondages ne mesurent le début du commencement d’une profondeur de conviction chez ceux qu’ils interrogent. Ils n’ont aucune utilité objective autre que de donner l’illusion d’un vernis de sérieux aux récits fantasmés des anti-chasses. C’est tout.

En attendant, chez AVA France, on est super fiers de cette journée d’action : fiers d’avoir gâché la sortie de messe des communions, d’un mariage, la journée des badauds, et forcés la mobilisation de centaines de policiers et gendarmes qui avaient, soyons en sûrs, mieux à faire de leur journée.

Tout ça parce qu’ils ne supportent pas que des gens dont ils ne tolèrent pas la passion et nient tout simplement l’existence puissent organiser une parade de chiens et de musique de trente minutes.

Ils considèrent que leur droit inaliénable à manifester est un droit inaliénable à saccager les manifestations des ennemis qu’ils se sont désignés.

Ces gens vous racontent à longueur de temps que la région vivrait sous l’horrible joug des terribles veneurs, alors qu’en réalité, ce sont eux les intolérants, incapables de supporter un gramme d’altérité, incapables de supporter l’Autre.

En définitive, AVA aura tout de même été bien embarrassé de devoir faire manifestation commune avec une quinzaine de militants cagoulés de l’extrême droite antispéciste du réseau Pythagore, et Stan aura terminé sa journée en garde à vue pour organisation d’une manifestation non déclarée.

Et plusieurs milliers de veneurs, amis ou simples curieux auront profité de la magnifique organisation de cette journée des 90 ans du musée de la Vènerie de Senlis.

Club du Chien d’Ordre : une inter-saison animée

L’actualité d’inter-saison du Club du Chien d’Ordre est riche de nombreux événements ; qu’on en juge.

Le premier événement s’est déroulé le 17 mai, à Compiègne, au chenil des Vineux. Une centaine de veneurs y étaient réunis pour assister aux ateliers du chien de vènerie, orchestrés par le Club du Chien d’Ordre et son dynamique président, Stéphane Chataignereau. Des experts reconnus du chien de vènerie, veneurs et vétérinaires, sont intervenus. L’élevage, la santé du chien, la relation entre le veneur et le chien de meute, l’organisation du chenil et l’alimentation ont été les thèmes abordés.

Deuxième rendez-vous le week-end suivant à Fontainebleau, dans le cadre de Nature & Vènerie en fête où un concours régional d’élevage a été organisé. 80 chiens de 10 équipages ont été jugés. Tayaut, Poitevin du Rallye Colletot, a notamment été jugé meilleur chien de l’exposition.

L’intersaison va également procurer au Club du Chien d’Ordre l’opportunité de visiter des chenils : un premier circuit en Normandie a permis de rencontrer 8 équipages et porter une appréciation sur 600 chiens.

A la fin de l’été, deux évènements importants auront encore lieu : le 1er concours régional d’élevage les 30 et 31 août au Château Filhot à Sauternes dans le cadre du Salon Terre de Chasse et la classique Nationale d’Elevage du grand rassemblement de La Sange, les 13 et 14 septembre.

Assemblée générale 2025

Plus de 500 personnes étaient réunies à Fontainebleau, à l’occasion de l’Assemblée Générale de l’Association des Veneurs, de l’Association des Equipages et du Club du Chien d’Ordre le samedi 24 mai dernier. Cette réunion annuelle permet de faire le bilan de la saison écoulée et propose une vision pour le futur proche de la vènerie et de son environnement : territoires de chasse, perspectives politiques, relations avec nos partenaires et nos institutions.

Après avoir rendu hommage aux veneurs plus particulièrement impliqués dans la vie de nos associations (administrateurs, délégués régionaux, dircoms), Pierre-François Prioux, président de la Société de Vènerie, a d’abord dressé un bilan cynégétique de la saison écoulée. Il est ensuite brièvement revenu sur les quelques perturbations notamment générées par nos opposants, avant de faire un point sur les relocations des forêts domaniales. La mise en place des nouvelles dispositions relatives aux parcs a fait l’objet d’un exposé attendu.

Le bilan moral du président a ensuite été consacré aux formations, et au Championnat de France du Cheval de Chasse ; dès septembre prochain, les nouveaux maîtres d’équipage seront conviés à une journée de formation dédiée afin de les accompagner dans les débuts de leurs nouvelles et importantes responsabilités. Pierre-François Prioux a conclu par une évocation des parlementaires et de leur soutien au monde de la chasse, ainsi que des relations de qualité entretenues par la Société de Vènerie avec les différents partenaires institutionnels de la chasse.

Après la présentation des comptes, maître Justine Devred a proposé à l’assistance un point juridique de grande qualité qui a retenu l’attention de toute la salle. Mickael Pérennez a présenté l’importance des réseaux sociaux dans la communication de la vènerie. L’école des piqueux a ensuite fait l’objet d’un pré-bilan très positif de la part d’Henry Séchet, qui, parmi les administrateurs de nos associations, est un acteur déterminant de sa mise en œuvre.

Stéphane Chataignereau, président du Club du Chien d’Ordre a fait le point des actions mises en œuvre par l’association, fixant les objectifs principaux qu’il lui a assignés.

Se sont ensuite succédés à la tribune des invités venus exprimer leur soutien à la vènerie : Xavier Bretault, président de la Fédération Internationale des Trompes de France, Jean Masson, président de l’Association Française des Equipages de Vènerie Sous Terre, Alain Bénazet, président de la Fédération des Associations de Chasseurs aux Chiens Courants, Edouard Jacomet, chef de département « gestion durable et multifonctionnelle des forêts » à l’Office National des Forêts, Pierre Cuypers, sénateur & président du Groupe d’études : chasse et pêche du Sénat, Daniel Labaronne, député & président du Groupe d’études : chasse et pêche de l’Assemblée nationale.

L’assemblée générale s’est conclue par un hommage rendu par Philippe Dulac et Pierre de Roüalle, présidents d’honneur de la Société de Vènerie, au travail remarquable et fidèle de François Couëtoux du Tertre, au service de la vènerie, en qualité de délégué général d’abord puis d’administrateur et trésorier de l’Association des Veneurs.

Barbares !

La liesse suscitée par la victoire du PSG en ligue des champions a occasionné, durant les nuits du samedi 31 mai et du dimanche 1er juin, des débordements qualifiés de « barbares » par certains commentateurs et hommes politiques. « Barbare », c’est aussi le qualificatif dont usent nos opposants pour caractériser la chasse à courre. Mais que signifie donc ce terme ? 

  • • Barbare : qui manifeste de la cruauté, qui est inhumain (Larousse).
    • Inhumain : qui ne semble pas appartenir à la nature ou à l’espèce humaine et qui est perçu comme atroce, monstrueux (Larousse).  

 S’il semble donc pertinent de qualifier de « barbares » les actes perpétrés en marge de la finale de la ligue, il n’en va pas de même de la vènerie. 

La cruauté ? c’est placer un être vivant dans des conditions auxquelles sa nature ne lui permet pas de faire face (enfermer son chien dans une voiture en plein soleil, par exemple). Rien de tel en ce qui concerne la vènerie puisque l’animal chassé, objet de la poursuite des chiens prédateurs, a développé depuis la nuit des temps les capacités physiques et sensorielles pour leur échapper ; la preuve : trois fois sur quatre, il triomphe de la meute. 

Inhumain ? c’est tout le contraire. Tout d’abord, l’humain s’est notamment élevé au sommet de la chaîne alimentaire car il est un prédateur, n’en déplaise à ceux qui voudraient nous voir tel un animal parmi les animaux, comme si une sorte de coexistence pacifique entre les espèces animales était possible ; en réalité, elles se mangent les unes les autres. Ensuite, parce que la capacité de conduire une meute de chiens, selon sa nature intrinsèque de prédateur, à la poursuite d’une proie en utilisant ses capacités olfactives et physiques relève d’une expertise qui réclame une intelligence proprement humaine. L’intelligence, cette capacité à relier les faits entre eux pour en déduire une connaissance rationnelle des situations que l’humanité a portée au plus haut niveau. Le veneur intelligent est ainsi celui qui, mieux qu’un autre, relie les événements du bien-aller pour déterminer la meilleure façon de servir les chiens dans la difficulté. 

Alors, pourquoi cette erreur dans l’appréciation de la chasse à courre ? Pourquoi certains de nos contemporains, à l’instar de Brigitte Bardot déjà évoquée dans une précédente chronique, la qualifient de « monstrueuse » ? La réponse pourrait bien se trouver dans la question. La vie de nos « contemporains » se déroule majoritairement dans des espaces déconnectés de la « vraie » nature, où Pumba le phacochère est l’ami de l’enfant-lion ; dans la vraie nature, les lions comme les lionceaux et les lionnes mangent les phacochères.  

Au fond, nos contemporains, trop connectés aux réseaux médiatiques – médiatique, qui est un intermédiaire, un lien mais aussi un filtre, un prisme entre le monde et nous – mais déconnectés de la vraie nature, imaginent un monde débarrassé de la mort. La leur d’abord, dont le traitement oscille entre l’isolement des vieux dans des Ehpad et une législation sur la fin de vie des humains qui tend à faciliter son accélération ; celle de tout le règne animal ensuite. Etrange paradoxe d’ailleurs puisque, simultanément, nos parlementaires étudient la possibilité d’accélérer la fin de vie des humains tout en proscrivant l’euthanasie des animaux ; il est vrai que cette dernière proposition émane du député Aymeric Caron dont on connaît les foucades. 

Et pourtant, s’il est encore possible dans nos sociétés de cohabiter avec des espèces animales sauvages dont certains sujets dépassent les 200 kg, c’est parce que les chasseurs régulent leurs populations, alliant les plaisirs de la chasse à une mission de service public réalisée gratuitement.  

La vènerie n’est donc pas barbare. La bataille des mots est essentielle dans notre combat face à l’obscurantisme animaliste. N’en laissons pas l’exclusivité à nos opposants. 

La population au contact d’une centaine de chiens

Ouest-France – mercredi 25 juin 2025

Le public était comblé dimanche, avec un vide-greniers au cœur du village et les portes ouvertes de l’équipage de vénerie Le Rallye de Perseigne, au lieu-dit Villeneuve.

Le vide-greniers a accueilli une trentaine d’exposants tôt le matin, accompagné d’une exposition de tracteurs agricoles anciens proposée par l’association Tracto copains du Perche. Ces derniers ont assuré l’accompagnement des visiteurs à partir de deux navettes de tracteurs avec remorques entre le cœur du village et le lieu-dit Villeneuve.

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L’équipage de vénerie du Rallye de Perseigne, en Sarthe, ouvre les portes de son chenil

Actu.fr – sam. 21 juin 2025

Le comité des fêtes de Villaines-la-Carelle (Sarthe) organise un vide-greniers, dimanche 22 juin 2025. Le public pourra également découvrir le chenil de l’équipage de vénerie.Les membres du comité des fêtes de Villaines-la-Carelle (Sarthe), en partenariat avec l’équipage de vénerie du Rallye de Perseigne, se sont réunis, à la salle du conseil de la mairie, pour préparer le vide-greniers et les portes ouvertes du chenil, dimanche 22 juin 2025.Jean-François Nègre, maître d’équipage, et Kévin Péron, piqueux, étaient présents.« Nous associons à notre vide-greniers les portes ouvertes du chenil de l’équipage du Rallye de Perseigne », annonce Mimi Miaux, la présidente.Dès 7 h, sur inscription non obligatoire, nous accueillerons les exposants au cœur du village, avec l’exposition d’une quinzaine d’anciens tracteurs agricoles de l’association Tracto copains du Perche. Mimi Miaux, la présidente du comité des fêtes.Tout au long de la journée, à partir de 9 h 30, l’association assurera avec deux tracteurs et remorques un aller et retour gratuit pour accompagner les visiteurs entre le bourg et le chenil.

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Après la manifestation anti-chasse à courre à Senlis, le porte-parole AVA placé en garde à vue

Courrier Picard – samedi 14 juin 2025

Interpellé à la fin de la manifestation samedi 14 juin 2025 à Senlis, le porte-parole AVA a bien été placé en garde à vue par les gendarmes. Relâché, il dit attendre sereinement la suite.

Porte-parole du collectif AVA anti-chasse à courre, Stanislas Broniszewski a échangé avec les gendarmes dès le début du rassemblement samedi matin à Senlis. Et quelques heures plus tard, il a été interpellé. – Dominique Touchart

À peine terminé, le militant compiégnois a été auditionné pour « manifestation illégale » avant d’être relâché en début de soirée. « Une quinzaine de militants d’AVA m’attendaient devant la gendarmerie pour me soutenir et cela m’a fait du bien » , relate dimanche l’opposant à la chasse à courre

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