Aptitudes
L’athlète
Quelle est son anatomie ?
En quoi ses sens sont-ils extraordinaires ?
Comment l’odorat fonctionne-t-il ?
Son ouïe est-elle plus développée que la nôtre ?
Sa vue est-elle meilleure que la nôtre ?
Le chenil
La réglementation
Les différents régimes
ICPE
l’agencement idéal
Plans généraux
Les dortoirs
La cuisine et le réfectoire
Le stockage et la déchetterie
Les cases
La structure
L’entretien
Nettoyage et désinfection
maladies
Les maladies du chien de vènerie
L’importance de la quarantaine
La Parvovirose
La Leptospirose
La maladie de Carré
La Leishmaniose
La Toux du Chenil
La Maladie d'Aujeszky
Gales
Le traitement du parasitisme
Les parasites internes
Les parasites externes
L’élevage
La reproduction
Principe de base
Les chaleurs
Le type de chien
Le choix du reproducteur
de la mise bas au sevrage
Lieu de mise bas et rigueur
Nutrition
Sevrer et commencer l’éducation des chiots
L’identité du chiot
Nom
Identité
Vaccins & vermifuges
Vaccinations
Vermifuges
Quelles sont les maladies les plus courantes chez les chiots et que faire ?
L’Herpès Virose
Parvovirose
Diarrhées infectieuses
Maladie de carré
les personnalités
Les chiens qui ont marqué leur temps
Faublas
Gençay
Ténébro
Givredy
Chambertin
Les grands éleveurs
Les grands éleveurs à suivre
Joseph de Carayon-Latour
Rogatien Levesque
Chambertin
les personnalités
Chambertin
Chambertin était l’un des chiens du vautrait monté par Alphonse de Falandre en 1895 pour chasser dans l’Orne sur un vaste territoire de 14 000 hectares.
M. de Falandre avait voulu ses chiens endurants, forts, mordants, rapides, parfois au détriment de la voix. Le maître d’équipage avait bâti donc une meute de normands-poitevins renforcée par de solides Foxhounds. Chambertin était le fruit d’un croisement entre un chien anglais et une lice de Chambray.
De change, Chambertin pouvait maintenir son sanglier sur de longs parcours même lorsque l’animal de chasse traversait une importante compagnie. Il était aussi un grand rapprocheur, capable de remonter sans hésitation une voie déjà ancienne. Ses facultés dépassaient tant celles de ses frères qu’il se retrouvait souvent seul avec le bon animal de chasse tandis que la meute se laissait berner par le change.
En fin de carrière, doyen de la meute, il était encore utilisé comme rapprocheur. Il mourut à la chasse en janvier 1913.
Le Vautrait de Falandre sur Mémoire des équipages : https://memoiredesequipages.fr/fiche/1232
TÊTE
RÉGION CRANIENNE
Allongée, pas trop large, bosse occipitale peu accentuée.
-
Crâne : Légèrement convexe, sans être bombé.
-
Stop : Cassure du front peu marquée.
RÉGION FACIALE
-
Truffe : Bien pigmentée, narines bien ouvertes.
-
Museau : Moyennement allongé, d'un aspect un peu effilé; chanfrein droit ou légèrement busqué.
-
Lèvres : La lèvre supérieure recouvre l'inférieure.
cou
Dégagé, sans fanon.
CORPS
-
Dos : Soutenu, droit.
-
Rein : Assez court et musclé.
-
Croupe : Légèrement inclinée, assez longue.
-
Poitrine : Descendue, atteignant au moins la pointe du coude, bien développée. Côtes longues, moyennement arrondies.
-
Flanc : Assez plein, un peu relevé, mais sans aspect levretté.
fouet
De longueur moyenne, assez fin, bien attaché dans le prolongement de la ligne du rein, avec un poil fourni, sans être espié.
MEMBRES
MEMBRES ANTERIEURS
Suffisamment forts, larges et droits vus de profil.
-
Épaules : Omoplates longues, plates et obliques, bien plaquées contre la poitrine.
MEMBRES POSTERIEURS
-
Cuisses : Musclées, bien descendues.
-
Jarrets : Légèrement coudés, assez près de terre.
-
Pieds : Secs et doigts serrés.
peau
Fine, sans plis, tissus serrés.
TAILLE
HAUTEUR AU GAROT
-
Mâles et femelles : 0,48 à 0,56 m. Avec une tolérance de 2 cm vers le haut et vers le bas pour les sujets exceptionnels.
robe
Poil court, serré et lisse
COULEURS
-
Tricolore : blanc et noir avec feux de couleur vive, truffe noire.
-
Blanc et noir avec feux pâles, truffe noire.
-
Bicolore: : blancet orange, truffe tabac.