Joël apprend comment sonner la trompe de chasse
Ouest France – sam. 7 décembre La trompe de chasse, instrument de prédilection pour la chasse à courre, existe depuis le XVIIIe siècle, sous Louis XV. Joël Sébire nous en livre ses particularités.
Ouest France – sam. 7 décembre La trompe de chasse, instrument de prédilection pour la chasse à courre, existe depuis le XVIIIe siècle, sous Louis XV. Joël Sébire nous en livre ses particularités.
Le Chasseur Français – sam. 30 novembre
Depuis le 1er octobre, 10 futurs piqueux sont en formation en alternance dans une MFR et dans des équipages.
Les dix élèves recrutés pour faire partie de cette première promotion de l’école des piqueux suivent une formation en alternance à la Maison Familiale Rurale de Bournezeau en Vendée et dans l’un des dix équipages qui avaient accepté de les embaucher. Cette formation dispensée sur 10 mois. En alternance de cours théoriques (11 semaines dans une Maison Familiale Rurale) et de pratique dans un équipage de vènerie (32 semaines).
Actu.fr – ven 29 novembre
Pierre-François Prioux joue aux équilibristes. Conscient du déficit d’image dont souffre la pratique, le président de la Société de vènerie ouvre les portes d’un monde jugé fermé.
Depuis mai 2022, c’est lui le patron de la chasse à courre : Pierre-François Prioux. Le nouveau président de la Société de vènerie, élu, se dit « combattif ». Avec de premier défi, combler le déficit d’image dont souffre la pratique, héritée du Moyen Âge, il a décidé d’ouvrir en grand les portes de ce monde qui vivait en vase clos.
Face aux militants anti-chasse, téléphones à la main, à l’affût de la moindre vidéo au potentiel viral, Pierre-François Prioux veut montrer patte blanche. « Ouvrir » le dialogue et surtout « ancrer la vènerie dans le XIXe siècle ».
Cet ancien professeur d’histoire-géographie, a lui-même créé son équipage : le Rallye Tempête. « En hommage au nom d’un chien », lâche-t-il. Et depuis, il parcourt la France entière, à la fois pour chasser, mais aussi pour comprendre comment réinventer cette pratique aux legs d’un autre temps. Interview.
Froid de canard, mais beau soleil samedi matin au-dessus du haras des Bréviaires à l’occasion de la célébration de la Saint-Hubert, le saint patron des veneurs.
Tout l’équipage de Bonnelles Rambouillet, familles, amis et soutiens de la chasse à courre, ainsi que des représentants de l’État, dont le préfet des Yvelines et le sous-préfet de Rambouillet, étaient présents pour participer à cette messe annuelle où les tuniques rouges coloraient l’assemblée qui a vibré au son des trompes de chasse.
L’occasion pour la maître d’équipage du rallye de Bonnelles, Véronique Nadjahi, de rappeler qu’au départ, la messe de la Saint-Hubert était dédiée aux chiens. « Avant l’arrivée de la pharmacopée, alors que les chiens pouvaient contracter de terribles maladies comme la rage, on appelait sur les chiens la protection du Tout-Puissant. Sans les chiens, le veneur n’est rien. La raison d’être de la chasse à courre, ce sont eux et je tiens à exprimer ma reconnaissance à notre meute. » Une meute composée de Grands Anglo Français tricolores, une race adaptée à la chasse en forêt.
Ouest France – mar. 19 nov
Près de 500 fidèles avaient fait le déplacement, samedi 16 novembre 2024, pour venir assister à la messe de la Saint-Hubert, patron des chasseurs et des chiens de chasse.
Près de 500 fidèles avaient fait le déplacement, samedi 16 novembre 2024, pour venir assister à la messe de la Saint-Hubert, patron des chasseurs et des chiens de chasse, célébrée dans l’église Saint-Denis, d’Aillières-Beauvoir (Sarthe), trop petite pour accueillir tous les fidèles, mais les conditions météo étaient telles que bon nombre de fidèles ont pu stationner à l’extérieur pour suivre l’office du père Emmanuel Jamin, accompagné de Jean-Claude Théotime, diacre.
Samedi, les chasseurs à courre célébraient la Saint-Hubert. Une cérémonie qui a attiré plus de 200 personnes.
Samedi matin, l’église Saint-Pierre accueillait la cérémonie de la Saint-Hubert. Une messe qui fut rythmée par les cors des chasseurs à courre du Rallye Nomade qui célèbre ses 90 ans de présence dans la commune.
« Cette cérémonie est particulière, comme la chasse qui aura lieu cet après-midi. » Une chasse qui comme cette messe est ouverte à tous, rappelle-t-on au sein des chasseurs. D’ailleurs, les bancs de l’église sont occupés. Il y a environ 200 personnes.
Le Bien Public – sam 2 nov
Ce dimanche 3 novembre, c’est le jour de la Saint-Hubert, patron des chasseurs. Ce sont toutefois généralement les équipages de grande vénerie qui honorent le saint patron, le jour même, avant où après.
En Saône-et-Loire, un hommage a déjà été rendu par l’équipage de Saint-Romain. Avant celui du Vautrait le Ragy le 4 novembre, c’est le rallye Hourvari qui, mardi 29 octobre, traditionnel jour de chasse à courre au chevreuil dans la forêt de la Ferté, a célébré saint Hubert.
L’Eclaireur du Gâtinois – mer 30 octobre
Le père Précieux Akodjenou s’apprête à effectuer la bénédiction des chiens. Samedi, l’église de Paucourt était pleine pour la messe en l’honneur de Saint-Hubert, patron des chasseurs. Une cérémonie importante pour Gonzague Guespéreau et les membres du Rallye Saint-Eustache, un équipage de vénerie fondé en 2005 par un groupe d’amis chasseurs de chevreuils en Bourgogne.
Les sonneurs de trompe de chasse d’Auxerre ont joué des airs de circonstance. La messe a été suivie de la bénédiction des chiens et des chasseurs.
Ouest France – mar 15 octobre
Organisée par Les amis du château de Craon, avec le soutien des Vieilles soupapes craonnaises et de la Fédération des chasseurs de la Mayenne, la 14e édition de « L’automne en fête » aura lieu dimanche 20 octobre 2024. Au programme, de nombreuses animations, et une nouveauté, la présence d’un attelage de huskies.
Cette journée dédiée à l’automne débutera de bonne heure le matin dimanche 20 octobre 2024, par le traditionnel concours de pêche réservé aux enfants. Dès 9 h 30, ces derniers pourront venir s’inscrire, avant de pouvoir plonger leurs lignes, dès 10 h, dans le bassin des cygnes situé en bas du parc.
Jusqu’au 27 janvier, ne manquez pas l’exposition Oudry, peintre de courre, les chasses royales de Louis XV, au château de fontainebleau. Une occasion de mettre en lumière le travail de Jean-Baptiste Oudry, célèbre pour ses représentations des chasses du roi Louis XV (à Compiègne, Fontainebleau et Saint-Germain-en-Laye) et ses portraits animaliers.
Peintures, éditions, porcelaines, dessins, habits et tapisseries : c’est une immersion qui est proposée dans l’univers de la chasse à courre, l’activité favorite du roi. L’exposition présentera pour la première fois, les cartons d’Oudry conservés à Fontainebleau dont quatre ont été récemment restaurés, les dessins préparatoires et les tapisseries des Chasses royales par la manufacture des Gobelins pour lesquels ils ont servi de modèle.
Baptiste Ravier-Gout est le chef d’équipage de chasse à courre du Rallye du Gaillardet, sur la commune d’Arfons. Ils accueillent pour la première fois des non-chasseurs lors de l’opération «Un dimanche à la chasse» qui aura lieu le 20octobre prochain.
Comment décrire la chasse à courre?
C’est un art! Nous n’avons pas d’arme, c’est une chasse écologique et naturelle. Il y a un grand respect de l’animal. Je dirais que c’est une manière de vivre la nature autrement. Du début jusqu’à la fin, nous attaquons un seul animal. Et on ne va pas se mentir, dans un secteur très difficile comme la Montagne noire, neuf fois sur dix, l’animal n’est pas capturé. En général, nous chassons de la mi-septembre à la fin mars.
Société de Vènerie
79 rue des Archives
75003 Paris
01 47 53 93 93