Une belle chasse à courre, mais sangliers et chevreuils échappent à la meute
SAINT-CIERS-DU-TAILLON.
L’Acca la Saint-hubert a organisé une chasse à courre, mais chevreuils et sangliers ont remporté la bataille.
L’association de chasse communale agréée la Saint-Hubert a invité le vautrait Vallière pour une chasse à courre au sanglier le samedi 8 mars. Cette manifestation traditionnelle a encore une fois attiré beaucoup de monde, parmi lesquels on trouvait de nombreuses personnes des ACCA de la région. Mais si des chasseurs étaient présents, ils n’étaient pas les seuls, car plusieurs chasseurs d’images étaient venus pour capturer de belles prises de vues. Ils se sont positionnés dans des endroits stratégiques où, pensaient-ils, la chasse devait passer avec la bête suivie par la meute de chiens, ainsi que la vingtaine de cavaliers.
Incident de chasse chez Luc Besson : la chasse à courre accusée à tort
Le Télégramme – ven 28 février Le vice-président de la Société de vénerie rebondit sur l’affaire du cerf tué chez Luc Besson pour défendre la pratique de la chasse à courre. Les images d’un cerf abattu sur la terrasse d’une propriété de Luc Besson, en Normandie, diffusées la semaine passée, ont heurté la sensibilité de bon nombre de personnes.
Les nombreux débats télévisés ou radiophoniques qui ont suivi (pour certains bien peu respectueux du contradictoire…) l’ont montré. L’enquête ouverte par le parquet d’Argentan, suite à la plainte du réalisateur, permettra de faire toute la lumière sur cet incident, et c’est heureux : la chasse, en France, est une activité légale et encadrée. Ainsi, tout acte illégalement commis doit être sanctionné par la loi.
«Le village préféré des Français» : Longpont mise sur la chasse à courre pour marquer des points
En lice parmi treize autres villages de France, Longpont annonçait il y a une semaine sa participation à l’émission «Le village préféré des Français». Ce lundi 24 février 2025 était l’occasion pour le maire Gilles Davalan et les différents acteurs du village, Rosamée De Lacheisserie, propriétaire de l’abbaye, Pascal Hoche, ancien aubergiste de Longpont, et jeanne Roussel, conseillère départementale, de discuter des points forts de la commune.
Karl Reille : maître de la vénerie et virtuose de la peinture animalière
Karl Reille (1886-1975) incarne une double vocation rare : celle d’un veneur passionné et d’un artiste animalier exceptionnel . Né à Paris dans une famille aristocratique, il s’est rapidement distingué par son talent pour le dessin et son amour de la chasse. De ses aquarelles délicates à ses huiles vibrantes, il a su capturer l’essence même de la vénerie, qu’il pratiquait autant qu’il peignait. À travers ses œuvres, il a non seulement documenté les traditions cynégétiques françaises, mais aussi imprimé une esthétique propre.
Sauver la vènerie
Assaillie par des pétitions, vilipendée par Yann Arthus-Bertrand, critiquée par une majorité de médias, cette belle tradition française mériterait d’être pérennisée.
La vènerie ou chasse à courre fait partie intégrante de la culture française. Avec plus de 400 équipages en France, ce mode de chasse est présent dans l’ensemble de nos régions. On compte près de 10 000 adhérents, 100 000 suiveurs, 30 000 chiens et 10 000 chevaux : la chasse à courre fait vivre beaucoup de monde. Elle assure aussi la protection de nombreuses races de chiens (anglo-français, poitevins, gascon-saintongeois, harriers, beagles, Bruno du Jura, etc..). Si, dans l’ensemble, les Français l’acceptent et même la soutiennent, l’offensive ne faiblit pas. Récemment, une pétition dans le journal « Le Monde » a été signée par une cinquantaine de personnes ; Yann Arthus-Bertrand a aussi jeté tout son crédit abolitionniste dans la balance.
De la chasse à l’arc à la vénerie
Le courrier de l’Ouest – lundi 3 février 53 élèves de 6e du collège Saint-Joseph se sont familiarisés à la chasse à l’arc et à la vénerie lors d’une sortie au bois de Parnay à Vernoil.
Jeudi 30 janvier, les 53 jeunes de 6e option nature du collège Saint- Joseph ont pu se rendre à Vernoil, au bois de Parnay, chez Stéphane Portier, où ils ont retrouvé Ismaël Lécrivain pour une présentation des différentes missions des chasseurs.
Les collégiens ont également pu rencontrer deux chasseurs à l’arc qui leur ont expliqué la démarche de cette pratique en insistant sur leur éthique : chasser, c’est savoir ne pas tirer. Puis, les jeunes ont pu à leur tour essayer de tirer avec un arc, sous les encouragements de leurs camarades.
Un équipage de la Marne en visite pour une chasse à courre
Sud-Ouest – mardi 28 janvier
Le Rallye saintongeais, une société de vénerie locale, recevait dans la forêt de la Coubre ce samedi 25janvier un rallye ami, celui des Ardennes-Campine, pour une poursuite au brocard. L’équipage invité est originaire de Sainte-Menehoulde, dans la Marne. Cettecompagnie est essentiellement composée de membres venus de Belgique, pays où la chasse à courre est interdite depuis 1995, année où, justement, leRallye saintongeais invitait son homologue pour la première fois.
Liens étroits
Jean-Jacques Boutrot et Édouard de Fierlant, maîtres d’équipage respectifs duRallye saintongeais et du Rallye des Ardennes-Campine, ont rappelé les liens amicaux étroits qui unissaient les deux sociétés. Le rallye ardennais a fait le déplacement avec une dizaine de suivants, dont six sonneurs et 12 chiens.
Faut-il emmener des enfants à la chasse ?
Dans son édito de la Société de Vénerie, Antoine Gallon revient sur la question de savoir si il faut emmener les enfants à la chasse. Prenez le temps de lire son analyse.
Dans son numéro du 30 juillet dernier, le Figaro s’interrogeait sous la plume du pourtant peu progressiste Paul Sugy sur une question qui fait débat : « faut-il emmener des enfants à la chasse ? ». Antoine Gallon de la Société de Vénerie répond à cette question dans un éditorial que nous vous partageons. Nous avons en effet beaucoup aimé son analyse très pertinente.
À Fontainebleau, Oudry a du chien
Le Figaro – ven 10 janvier Le château, qui abrita la capitainerie des chasses, expose en majesté le grand peintre animalier du XVIIIe siècle.
Hauts les cors ! Dans les 3 000 arpents du domaine de Fontainebleau, la pluie hivernale ne décourage pas plus les chasseurs que les esthètes. Au château, qui met en valeur quelques-unes des grandes battues de Jean-Baptiste Oudry (1686-1755), le peintre animalier préféré de Louis XV, la chasse est lancée. Tableaux, cartons de tapisserie et tapisseries, orfèvrerie (tel cet incroyable surtout de table du duc de Bourbon, 40 kg d’argent ciselé par Jacques Roëttiers et venu du Louvre), dessins de détail ou de présentation au commanditaire, pièces de porcelaine, gravures : tout concourt ici à la mise en valeur de cet homme de cour comme de courre, qui, en son temps, suscita une véritable « Oudrymania ».
À la MFR de Bournezeau, des actions pour l’environnement et contre le harcèlement
Ouest France – mar. 7 janvier 2025
Cette année, la MFR a proposé une nouvelle formation de technicien canin et équin en vénerie aux personnes qui gèrent les chenils et écuries de chasse à courre. « Un projet d’ouverture d’une nouvelle formation est en cours, avec un CAP métier de l’agriculture option élevage équin. »
L’assemblée générale de la Maison Familiale Rurale s’est déroulée, jeudi 26 décembre 2024, en présence des élèves, parents, moniteurs, salariés et partenaires. Les actions pour l’environnement ont été présentées.
Quand le lexique de la chasse s’invite dans notre quotidien
Le Chasseur Français – ven 13 déc
Des forêts aux salons, les termes cynégétiques parsèment notre vocabulaire quotidien. Petit florilège de ces mots ou expressions qu’on doit au registre de la chasse.
Ce n’est qu’un mystère pour personne. Le monde de la chasse est régulièrement attaqué. Le président de la FNC, Willy Schraen, le rappelle à l’envi. Le Congrès de la Fédération de l’an passé fut même une occasion de dénoncer « la morale verte », un nouveau mode de pensée , une attaque qui ne s’arrête pas à la chasse mais bien à notre mode de vie rural.
Malgré les débats qu’elle suscite, la chasse a laissé une empreinte indélébile sur notre langue. Nombre de nos expressions courantes trouvent leur origine dans le vocabulaire cynégétique.