La Lettre des Amis #25

MAGAZINE NUMÉRIQUE DE LA VÈNERIE

Que le meilleur gagne !

Par Cyrille Beaufils

Du 31 mars au 15 septembre, les animaux de vènerie font toujours l’objet de notre observation et de notre admiration. N’est-il pas paradoxal que, la saison venue, nous mettions nos forces à poursuivre ces mêmes animaux dans l’espoir de les prendre et de les tuer ? Le paradoxe n’est sans doute qu’apparent : ce que nous voulons, ce n’est pas tuer ces animaux que nous admirions hier. C’est mener, contre eux, un combat loyal, dans les règles. Chacun ses armes : la vitesse et les ruses pour l'animal chassé, l'endurance et le raisonnement pour les chiens et l'homme. Et que le meilleur gagne. Il n’y a pas moins de passion et de respect de l’animal dans un laisser-courre que dans des heures d’observations à la jumelle. Photo © Médéric de la Blanchardière

Municipales 2020 :

veneurs, engagez-vous !

Par Pierre de Roüalle

Le président de la Fédération Nationale de la Chasse, Willy Schraen, lance un appel solennel à la mobilisation des chasseurs pour les élections municipales de mars prochain. Nous le relayons avec beaucoup de conviction. De nombreux veneurs doivent se porter candidats sur les listes municipales, pour faire entendre la voix de ceux qui vivent la ruralité dans toutes ses dimensions. Au sein des conseils municipaux de vos villages, au plus près de l’endroit où se pratique la chasse à courre, les veneurs qui seront élus seront à même de défendre nos valeurs. Chasser à courre est un acte militant ! Vous présenter aux municipales en sera une belle démonstration. Je compte sur vous.

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Découvrez le dernier épisode

de la série "Veneur, qui es-tu ?"

Ce n’est pas un portrait que vous propose ce nouvel épisode de « veneur, qui es-tu ? » mais trois. Ceux des frères Beaudignies qui, il y a treize ans, ont créé leur équipage. Trois frères, leurs épouses et leurs enfants ; toute une famille qui communie dans son amour de la chasse à courre chaque jour de l’année. Découvrez aujourd'hui le 6e et dernier épisode de la saison 1, "Au-delà des clichés". Images © Christophe Guyot

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À la Une cette semaine

Deux médias nationaux consacrent des reportages plutôt positifs pour le monde de la chasse. Le 12/45 de M6 du 23 octobre enquête sur la colère des chasseurs face à leurs opposants et Le Parisien du 21 octobre relate les agissements intempestifs d’une excitée en forêt d’Halatte. La presse régionale, quant à elle, se signale essentiellement par des articles qui, sans esquiver les tensions qui rythment encore la vie de nos équipages, donnent surtout la parole aux veneurs, leur permettant d’exprimer librement leur passion de la chasse à courre. Et enfin des bonnes nouvelles en provenance de Picardie… C’est la revue de presse de cette fin de semaine ! Illustration © Arnaud Fréminet

Revue de presse

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d'Objectif Vènerie !

Nos laisser-courre offrent des opportunités extraordinaires de photographier des moments intenses de la vie de la faune sauvage de nos latitudes. La photo et la vidéo sont au cœur de notre dispositif de communication et font partie de nos meilleurs ambassadeurs lorsque leur diffusion est maîtrisée. C’est dans cet esprit que la Charte des Photographes a été conçue. Les veneurs doivent être attentifs à ce que cette chasse photographique soit réalisée dans des conditions respectueuses de leurs valeurs et des animaux qu’ils chassent. En signant cette charte, ils s’engagent à s'y conformer alors téléchargez-la, lisez-la attentivement, signez-la et demandez le parrainage de votre maître d’équipage. ©Robert Bordier

Mémoire des Équipages : l’Équipage de Songeons

Par Gaspar Soulat

L’histoire de cet équipage s’étale sur plus de 150 ans. L’Équipage de Songeons était installé dans l’Oise puis en Seine-Maritime et chassa successivement le loup, le sanglier, le lièvre et le chevreuil. Il fut surtout l'un des derniers équipages spécialisés dans la voie du daim. Le fondateur de l’équipage, Louis de Songeons, était l’un des capitaines des chasses de Louis XV. Il monta son propre équipage en 1784 et devint lieutenant de louveterie sous Napoléon. Son descendant, René de Songeons, chassait les chevreuils et les daims des forêts de Compiègne et de Montargis. Il est facilement identifiable sur les illustrations grâce à son emblématique haut-de-forme gris clair.

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