Un cerf, un grillage, un terrain de football : les ingrédients de la nouvelle supercherie d’AVA !

Alors que les 390 équipages de chasse à courre ont repris depuis deux mois partout en France, les opposants de la vènerie, cantonnés à trois forêts de la région parisienne, sont manifestement à cran pour obtenir des images. Malgré leurs provocations incessantes, ils n’ont pas encore réussi à créer l’incident tant espéré, pour tenter de discréditer notre mode de chasse.

Ce samedi 13 novembre 2021, l’équipage la Futaie des Amis a, une fois de plus, subi le harcèlement systématique de quelques opposants, fanatisés par un leader autoproclamé prêt à tout pour fabriquer un buzz médiatique.

Galvanisés par la présence du directeur de la rédaction de Charlie Hebdo, les opposants n’ont cessé de multiplier les provocations durant la journée, mettant tout en œuvre pour compromettre la chasse, avec leurs habituels procédés : intrusion dans les zones qui leur sont interdites par arrêté préfectoral, outrages aux forces de l’ordre, détournement des chiens, aspersion de produits toxiques pour perturber l’odorat des chiens.

A l’approche du terrain de football de Saint Sauveur, implanté en pleine forêt domaniale et à plus d’1km de la première habitation, l’équipage a décidé comme il se doit d’arrêter sa chasse et de retirer ses chiens dans le calme.

Mais les opposants n’entendaient pas laisser passer pareille occasion pour théâtraliser le « sauvetage » d’un cerf ; vociférant dans la parcelle, ils poussent le cerf jusqu’en bordure du terrain de football. Signalons que ce terrain de football est ceinturé par un grillage de deux mètres de haut, qui protège la pelouse des dégâts de sangliers et interdit son franchissement par tout animal sauvage.

A aucun moment, le cerf n’a été en situation de pénétrer sur le terrain de football protégé par ce grillage haut de deux mètres. A aucun moment, les enfants qui y pratiquaient leur activité sportive n’ont « risqué » d’assister aux abois du cerf, puisque les chiens avaient été retirés depuis un moment, ce que prouve la vidéo postée par les opposants, dans laquelle aucun cri de chiens n’est entendu. Sans les opposants qui l’y ont acculé, le cerf ne se serait jamais approché du grillage qui protège le terrain de football.

Créer les incidents pour mieux stigmatiser ceux qu’on prétend en être responsable. Rien de nouveau sous le soleil ; les régimes autoritaires qui inspirent Stanislas Broniszewski ont fait cela bien avant lui.

Société de Vènerie

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