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Homme de Vénerie : un métier à part entière

Il y a quelques mois, était lancé le projet de concevoir une formation spécifique pour les hommes, et les femmes, de vènerie : l’école des piqueux.

Excellente initiative de la Société de Vénerie qui devrait permettre d’offrir à la chasse à courre, à ses pratiquants et à leur environnement un progrès significatif dans la formation de ses futurs professionnels : les hommes de vènerie.

Désormais la Société de Vènerie, en partenariat avec la Maison Familiale de Bournezeau offre à la chasse à courre un progrès significatif dans la qualification de ses professionnels : les hommes de vènerie. Elle propose une formation nouvelle : technicien canin et équin en vènerie.

Homme (ou femme) de vénerie : un métier qui associe travail et passion au quotidien

La vènerie compte dans ses rangs des jeunes passionnés de chasse, de chiens, de chevaux, qui souhaitent s’orienter vers le métier d’homme de vènerie, associant ainsi travail et passion. Chaque année une dizaine de postes sont à pourvoir en France.

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Vidéo : Comment sont nourris les chiens de chasse ?

17 mars 2024

Alors non, les chiens de chasse ne sont pas affamés pour mieux chasser. La preuve en vidéo.

Dans cette vidéo la Société de Vénerie ouvre les portes des chenils pour vous montrer comment sont nourris les chiens de chasse.

Bœuf, poulet, et féculents pour la bonne santé des chiens de chasse

« Si tous les Français, ils mangeaient comme nos chiens, on serait en bonne santé ». Une petite phrase qui casse les affirmations des anti-chasse. Plus sérieusement on découvre dans cette vidéo que les chiens de vénerie mangent de la viande, naturellement, et désossée s’il vous plait… Mais aussi des légumes. Enfin pas trop, juste ce qu’il faut, les chiens ne sont pas végans ! ! ! Sans oublier des féculents. Comme tous les sportifs, ils ont besoin de sucre lent pour fournir de l’énergie lorsqu’ils chassent.

Des élèves d’un lycée découvre la chasse à courre

15 mars 2024

C’est une super initiative qu’ont eu deux élèves d’un lycée agricole : faire découvrir la chasse à courre et la vénerie à leurs camardes.

La petite phrase « la chasse n’a pas besoin d’être défendue mais expliquée » trouve tout son sens dans cette opération de découverte du monde de la chasse à courre. On ne peut que féliciter les deux élèves du Lycée Agricole de Chaumont pour cette initiative.

« La chasse à courre : et si on en discutait ? »

Mi février, une cinquantaine d’ élèves d’un lycée agricole de Chaumont (Haute-Marne) a découvert la vènerie à l’Abbaye du Val des Choues.

L’initiative a été lancée par Clara et Mathieu, deux élèves en 2ème année de BTS Productions Animales. Ceci dans le cadre d’une épreuve notée pour l’obtention de leur BTS. Mathieu est chasseur à tir et suiveur régulier de l’Équipage Piqu’Avant Bourgogne. Vautrait basé à l’Abbaye du Val des Choues, au cœur de la forêt domaniale de Châtillon (Côte d’Or).

Clara n’est pas chasseuse mais cavalière, elle possède deux chevaux réformés de courses. Le thème de leur projet est intitulé « La chasse à courre : et si on en discutait ? » et leur objectif était de faire découvrir ce mode de chasse à leurs camarades et professeurs. Le groupe a été reçu toute la journée par Daphné Fougea, membre de l’Équipage et Dircom régionale pour la Société de Vènerie. La visite pédagogique a débuté par une présentation générale de la vènerie, photos à l’appui. L’accent a été mis sur le bien-être animal, point d’intérêt pour ces élèves se destinant notamment à devenir vétérinaires, éleveur ou gestionnaires d’exploitations.

Puis les élèves ont pu visiter le Musée Opéra de la Vènerie, rénové en 2016 avec l’aide de la Fondation de France. Enfin, la visite des écuries, des chenils et la soupe des 80 chiens ont clôturé la journée.

Un sondage qui montre l’intérêt de faire découvrir pour faire tomber les idées reçues

Mathieu et Clara ont réalisé un sondage avant et après la visite pédagogique à l’Abbaye afin de comparer les opinions. Avant, 19% des élèves se déclaraient opposés à la vènerie, la majorité étant neutre (64%) et 39% d’entre eux estimaient qu’elle avait un impact négatif sur le bien-être animal (tant pour les animaux domestiques que sauvages). Après leur visite de l’Équipage, seuls 3% restent contre la chasse à courre et 75% ont affirmé un avis positif. Quant au bien-être animal, 100% des sondés pensent désormais qu’il est respecté en vènerie.

Les deux élèves doivent désormais restituer leur projet dans une présentation orale et organiser la venue de certains de leurs camarades qui se sont déclarés très motivés pour assister à une chasse !

Il n’y a pas d’âge pour découvrir la chasse à courre

Voilà une publication qui semblerait impossible à voir en France sans déclencher des propos haineux. Il y est expliqué que des enfants de tous âges sont venus découvrir la vénerie. Il n’y a qu’à voir les photos pour constater qu’ils ont adoré. Les images parlent d’elles même. Les commentaires aussi, les parents sont enchantés et redemande…

Chassiecq : Chasse à courre au sanglier

La société de chasse de Chassiecq a organisé samedi dernier une chasse à courre au sanglier avec la participation de l’équipage Rallye Bernel de Patrick Touvenin de Gençay. À 10h30, trois chasseurs de Chassiecq et trois membres du rallye sont allés faire le bois à la recherche de traces. « Le rallye ne connaissant pas le secteur, cette opération était nécessaire », expliquait le président, Jean-Baptiste Galland. Dans l’après-midi, six cavaliers et la meute de 40 grands anglos-français se sont élancés à la poursuite des sangliers. « On est tombé sur une compagnie et finalement sur un sanglier de 30 kilos. Les chiens ont pris puis perdu », raconte le président de la société de chasse. Les chasseurs sont rentrés bredouilles mais ils ont pu se réconforter avec l’apéritif offert par le Rallye Bernel et avec le repas préparé par la société de chasse auquel s’étaient inscrits 67 convives.

Le camp militaire de Sissonne, près de Laon, va accueillir sa première chasse à courre

8 mars 2024

Une première motivée par la volonté de faire découvrir. Pascal Duguet, président des chasseurs du camp de Sissonne, organise pour la première fois une chasse à courre sur le site du camp militaire, ce dimanche 10 mars. « C’est une chasse comme une autre, trop méconnue, et qui fait moins de mal que la chasse à tir classique. Dans la chasse à courre, on ne blesse pas l’animal et il n’y en a qu’un de prélevé. Et puis, nous ne sommes plus du tout sur l’image d’une chasse réservée aux bourgeois. Elle regroupe toutes les classes », rapporte le président à nos confrères de L’Union.

Une enceinte de 6 000 hectares

La chasse se tiendra à l’intérieur des 6 000 hectares du camp militaire. « Pour accéder à l’intérieur de l’enceinte, il faudra être annoncé. Autre avantage, nous avons sur le site une forte présence de cervidés. Au départ, le cerf est un animal de steppes. C’est l’activité humaine qui l’a poussé en forêt, sinon un milieu relativement ouvert comme le camp militaire, lui va bien. »

Vigilance des voisins

La chasse à courre pourra-t-elle quitter le site ? « L’équipage a demandé à pouvoir suivre le gibier en dehors du camp. La chasse pourrait alors se terminer en forêt de Samoussy par exemple. Une chose que nous ne saurons que dimanche. » D’ailleurs, les riverains et voisins du camp devront faire preuve d’une certaine vigilance. Il se pourrait qu’ils croisent un groupe de cerfs, de chiens ou de cavaliers… ou les trois.

Une découverte de la vènerie

Logo de Le Châtillonnais

22 février 2024

Dans le cadre de leur Projet d’Initiatives et de Communication, épreuve obligatoire et évaluée pour l’obtention du BTS, Mathieu et Clara, les initiateurs de cette sortie pédagogique qui sont actuellement en BTS Productions Animales deuxième année au lycée agricole Edgard Pisani de Chaumont (Haute-Marne), ont choisi le thème de « la chasse à courre : et si on en discutait ? ». Mathieu, habitué de la chasse à courre à l’abbaye du Val des Choues, avait sollicité Daphné Fougea, référente Bourgogne-Est pour la Société de Vènerie et membre de l’équipage Piqu’avant Bourgogne de l’abbaye.

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Coupe de France des chiens courants dans la voie du chevreuil

Logo de Le Petit Journal Tarn-et-GaronneLes 23, 24 et 25 février se déroulera la coupe de France sur Chevreuil

C’est un concours chapoté par le club de race du chien : le porcelaine (club du porcelaine) et la Centrale canine.

Pas moins de 10 équipages avec leurs chiens ont été sélectionnés suite à leur participation aux brevets de chasse et concours de beauté tout au long de l’année, dans leur races respectives (Grand Gascon-Saintongois, Griffon Fauve de Bretagne, Bruno Saint Hubert Français, chien Artois, Ariégeois, Beagle, Porcelaine, Anglo-Français de petite vénerie).

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Et si on parlait de la chasse à courre ?

18 février 2024

Dans le cadre de leur projet PIC (Projet d’initiative et de communication), deux élèves du lycée agricole Pisani ont proposé à leurs camarades de découvrir la chasse à courre, une pratique qui ne fait pas l’unanimité.

Intitulé « La chasse à courre et si on en discutait », Clara Gouin et Mathieu Goussard, élèves en BTS 2 au lycée agricole Pisani , avait à cœur de partager leur passion. Pour Mathieu, pratiquant de cette discipline, « c’était une évidence d’informer sur cette chasse qui est plus respectueuse ». Passionnée de chevaux et plus particulièrement du devenir des chevaux de courses réformés, Clara pense que ce type de chasse est une bonne formule. Le but de cette sortie était aussi de faire découvrir le monde la vénerie. « L’idée n’étant pas d’en faire la promotion mais bien de permettre une ouverture d’esprit sur ce sujet », précisent-ils. (suite…)

Andrest. « Le livre de la chasse de Gaston Phoebus »

9 février 2024

Dédié à la « vénerie médiévale », le livre rédigé entre 1382 et 1385, « magnifiquement illustré d’enluminures qui en ont fait la réputation » a fait

l’objet, à l’invitation de l’Association des Amis de l’Histoire d’Andrest, d’une conférence à la Bibliothèque Pierre-Gamarra de la médiathèque intercommunale Adour-Madiran.

Dire que Guy Cassagnet « avec la verve et l’érudition qu’on lui connaît », a présenté les quatre principaux chapitres de l’ouvrage, en s’appuyant sur les illustrations, c’est mesurer combien « Le Livre de la Chasse » de Gaston Fébus, comte de Foix et vicomte de Béarn, dit Fébus, est ce « véritable traité sur l’art de la chasse, des mœurs et habitudes du gibier aux techniques et dressage des chiens considéré comme un ouvrage de référence jusqu’au XIXᵉ siècle […] ». Guy Cassagnet a retrouvé les accents du professeur d’histoire passionné, émaillant sa conférence d’anecdotes et faisant successivement « s’attendrir et frissonner l’auditoire lorsqu’il a abordé la mise-bas des ours, puis leur chasse ».

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Le Rallye au bois a accueilli la Fédération régionale des trompes

8 février 2024

Le Rallye au bois réitère ce rendez-vous physique qui n’a plus eu lieu depuis le Covid. Le 28 janvier, l’assemblée générale régionale s’est faite à Saint-Étienne-du-Bois.

Impliqué depuis de nombreuses années dans les divers événements régionaux, nationaux et internationaux, le Rallye au bois stéphanois a accueilli cette année l’assemblée générale de la Fédération des trompes Auvergne-Rhône-Alpes. Cette fédération compte dix groupes répartis sur l’ensemble de la région. Elle dynamise l’apprentissage de la trompe de chasse, son développement et son expression.

Ce 28 janvier, pas moins d’une trentaine de représentants départementaux et responsables de groupes étaient présents à la salle Condal de l’écomusée.

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Château de Carrouges : les collections mises en ligne

7 février 2024

Depuis le mois de décembre, le château a ouvert au public la base de données de ses collections.

Cette base comptabilise près de 6 000 biens culturels du Moyen-Âge au XXe  siècle. Riche de nombreuses peintures et d’un mobilier précieux en grande partie acquis par les propriétaires du château, les collections reflètent tout l’art de vivre d’une famille aristocratique ayant servi rois et empereurs du XVe au XXe  siècle. Les objets du quotidien rappellent la gestion et le fonctionnement d’une grande demeure pendant 700 ans.

La collection d’histoire de la vènerie, unique en Europe, présentée dans les salles de chasse créées en partenariat avec le musée de la chasse et de la nature à Paris (Fondation Sommer) évoque plus de deux siècles de traditions, d’art et d’élégance.

« Venir suivre une chasse avec nous »

1er février 2024

Nathalie Faulque, chargée de communication à la Société de vénerie de la région Centre-Val de Loire, répond à ces actions menées par Ava Touraine. « Nous avons très peu de rapports avec ce collectif. Nous ne sommes pas toujours au courant lorsqu’ils suivent une chasse. » Selon elle, il n’y a « jamais eu de problème avec les membres d’Ava » dans le département. Une invitation a été lancée aux membres d’Ava : « Nous les invitons à venir visiter nos chenilles, constater que nous ne maltraitons pas nos animaux ainsi qu’à suivre une chasse à courre avec nous. »

Selon la Société de vénerie, environ 9 % des équipages en France chassent le cerf, et trois chasses sur quatre n’aboutissent pas à la mort de l’animal. Concernant les traversées de chiens sur les routes, Nathalie Faulque rappelle « que des panneaux sont placés sur les routes pour prévenir qu’une chasse est en cours », et ajoute « que c’est aux automobilistes de lever le pied ».

Enfin pour ce qui est des cerfs ou chiens se retrouvant dans les propriétés privées, Nathalie Faulque en est « désolée » et affirme que « les dégâts pouvant être induits sont pris à la charge de l’équipage ». Elle rappelle que le principe de la chasse à courre est de suivre un animal dont la trajectoire est imprévisible et de faire « s’affronter les capacités naturelles d’un animal avec celles des chiens, une pratique ancestrale ».