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sympathisants
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Les chiffres en disent parfois davantage qu’un long discours. Ainsi, ironie de l’histoire, la vènerie existe depuis plus de 600 ans et c’est en ce début de XXIè siècle qu’elle compte le plus de meutes, le plus de pratiquants comme le plus sympathisants répartis au sein des 400 équipages existants (dont 240 équipages de vènerie à pied). La vènerie présente en outre 2 spécificités : elle est pratiquée par beaucoup de femmes (environ 20% dont certaines sont maître d’équipage), en famille (36%).
La vènerie n’est plus un sport de privilégié
De nos jours, l’intégralité des équipages sont des associations de loi 1901. Ils réunissent des passionnés appartenant à toutes les catégories socio-professionnelles.
La vènerie attire de plus en plus de jeune
Par rapport au profil moyen du chasseur français dont l’âge se situe au dessus de 55 ans, la vènerie se distingue en ce que 50% des veneurs ont moins de 50 ans.
La grande vènerie n’est pas majoritaire
Avec ces 387 équipages répartis sur 70 département, la vènerie française n’a jamais été aussi présente. Et on constate que plus de la moitié des équipages chassent à pied le lièvre, le lapin et le renard.
Une chasse adaptée à toutes les bourses
La vènerie est accessible au plus grand nombre. A titre d’exemple, voici les cotisations annuelles par animal chassé (lapin 200€, lièvre et renard 500€, chevreuil et sanglier de 1500 à 2000€, cerf de 2 à 4000€)