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28 octobre 2021 – Chasse à courre : la stèle d’un veneur profanée

Au cœur de la forêt de Compiègne des militants anti-chasse à courre ont saccagé une stèle à la mémoire d’un ancien piqueux. L’acte de trop.

Ses filles sont accablées de tristesse, sa veuve anéantie. La semaine dernière, la stèle de leur père et épouse, Yann Dierrick , décédé tragiquement l’an dernier à 42 ans, a été profanée en forêt de Compiègne. Sur une plaque, le mot « Vénerie » grossièrement écrit à la peinture bleue, accompagné d’un dessin de tête de mort et d’une croix gammée. Les pierres apposées par ses filles en forme de cœur ont été dispersées. Les fleurs piétinées. Un saccage à quelques jours de la date anniversaire de son décès. (suite…)

26 octobre 2021 – Un concert qui résonne comme un plaidoyer pour la chasse

Les chasseurs de l’Argonne ont proposé ce samedi soir un concert inédit de trompes de chasse à l’église Saint-Maurille de Vouziers. Les sonneurs des Échos de Cerf-va-Aux ont désormais envie de sonner de la trompe de chasse dans toutes les manifestations privées, ou en rapport avec la chasse, la nature et la vénerie. Un moment intense mêlant plaisir et émotion. « Nous sommes tous des passionnés de nature et heureux dans nos campagnes. (suite…)

26 octobre 2021 – Une chaîne de solidarité pour Gabin

Gabin vient tout juste d’avoir 10 ans. C’est un petit garçon qui aime la vie, qui rêve de courir et taper dans un ballon, mais qu’une maladie rare oblige à se déplacer en fauteuil roulant. C’est une rhizotomie, opération de neurochirurgie, réalisée bientôt à l’hôpital Necker, à Paris, qui va l’aider à faire ses premiers pas et tenir debout. Si l’intervention puis la longue rééducation à Besançon sont prises en charge, le centre de rééducation est à plus de 200 km de la maison familiale. Elodie, sa maman, va devoir interrompre son travail pour accompagner son petit garçon mais aussi engager des frais à Besançon. Les collègues d’Elodie ont souhaité aider les parents de Gabin en organisant depuis quelques semaines une cagnotte solidaire.

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25 octobre 2021 – Les chasseurs font bloc face aux anti-chasse

« L’année sera combative et unitaire », scandait dans une vidéo à l’adresse des chasseurs des Yvelines, le patron des chasseurs français Willy Schraën. « Je suis chasseur et je le revendique », assure dans un message personnel Gérard Larcher lu devant les chasseurs du Rambolitain. Les chasseurs étaient galvanisés à Rambouillet lors d’une réunion dernièrement. « Une nouvelle identité du chasseur se dessine ». La première d’après crise sanitaire pour la Fédération des chasseurs d’Ile-de-France (FICIF). En pleine saison de chasse, ils voulaient faire bloc. Plusieurs centaines se sont rassemblées à l’hippodrome pour se projeter sur cette saison marquée selon eux par des attaques incessantes.

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22 octobre 2021 – Un partage intelligent des espaces avec Chasse Info

Les loisirs de pleine nature ont le vent en poupe, occasionnant parfois des conflits d’usage des espaces. Afin de « vivre la nature ensemble », la fédération départementale des chasseurs de la Côte-d’Or a mis en place Chasse Info, une application permettant de connaître les jours de battue du grand gibier.

Promeneurs, randonneurs, joggeurs, vététistes, cavaliers et chasseurs parcourent les mêmes sentiers et chemins domaniaux et communaux, en accord avec les propriétaires fonciers, les domaines privés, et ce, chacun selon les règles propres à son activité. Tous aspirent à exercer leur loisir « dans des conditions de sécurité et de bonne cohabitation, dans un environnement préservé ». (suite…)

La stèle d’un veneur profanée par des opposants à la chasse à courre. Jusqu’où iront-ils ?

Yann Dierickx avait découvert la chasse à courre en Picardie, où il était né. Il avait débuté sa carrière de veneur au Rallye Nomade puis à La Futaie des Amis à Compiègne, et l’acheva en qualité de piqueux du Rallye Vouzeron. Il est décédé trop tôt à 42 ans en septembre de l’année dernière. Pour perpétuer sa mémoire, ses deux filles, Charlotte et Adeline, et leur mère, Karine, avaient érigé une modeste stèle dans cette forêt de Compiègne qu’il avait tant aimée. Cette stèle vient d’être profanée à quelques jours de la date anniversaire de son décès ; des inscriptions opposées à la chasse à courre y ont été inscrites, le lieu, dans son ensemble, vandalisé.

Aujourd’hui, sa famille, encore traumatisée par cette mort prématurée, est dévastée par la rage qui a conduit des individus détestables à cet acte barbare. Cet acte n’est hélas qu’une illustration nouvelle du climat délétère entretenu par une poignée de fanatiques opposés à la chasse à courre. Rendront-ils des comptes des conséquences de la haine qu’ils propagent ? Sans doute pas. Ils ne font face à l’opinion publique que pour débiter leur propagande ; prétendant « documenter » la chasse à courre, ils ne travaillent qu’à faire détester leurs pratiquants et à diviser nos contemporains avec de faux arguments. Tristes sires que voilà qui pensent accéder à la renommée par la haine qu’ils sauront propager ; d’autres s’y sont essayé dans le passé, ce qui les mena toujours à leur perte ; nos opposants devraient s’en souvenir.

21 octobre 2021 – Plus que jamais, le lobby des chasseurs met la pression sur les candidats

Plus que jamais, le lobby des chasseurs met la pression sur les candidats. Le président de la Fédération Nationale des Chasseurs confie son envie de peser sur la présidentielle. En face, les animalistes réagissent. La date est cochée sur le calendrier. Trois semaines avant la présidentielle, le 21 mars 2022, les chasseurs ont prévu de faire passer un grand oral à tous les candidats. C’est ce qu’ils avaient déjà fait lors du congrès de la Fédération nationale des chasseurs (FNC) en mars 2017. Interrogés tour à tour, Emmanuel Macron et François Fillon s’étaient pliés à l’exercice. «On veut à nouveau peser, c’est notre rôle », résume Willy Schraen, le puissant patron de la FNC.

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L’équipage du Verney aux Fées obtient gain de cause devant la Justice

On a coutume de dire que le temps judiciaire n’est pas le temps médiatique ; en voici une nouvelle preuve.

Le 10 mars 2020, un automobiliste fonce sciemment sur un chien de la meute de l’équipage du Verney aux Fées, animé par une probable détestation irraisonnée de la chasse à courre.

Transporté sans délais à la clinique vétérinaire, le chien blessé s’en sortira miraculeusement.

Le 15 février 2021, le chauffard a été condamné à une double amende pour délit de fuite et préjudice morale.

Dans notre pays, les actes délictueux sont poursuivis et sanctionnés.

La haine ne peut pas servir d’argument aux exactions les plus ignobles dont les veneurs sont trop souvent les victimes.

Nos opposants auraient tout intérêt à s’en souvenir et à adopter enfin un comportement respectueux des lois et de leurs concitoyens.

Les veneurs, quant à eux, continueront de déposer des plaintes pour les mauvais traitements dont ils sont l’objet ; les coupables seront condamnés afin que notre activité légale perdure.

Vènerie et écologisme

Il en va de l’ouverture de la saison de chasse à courre comme du défilé 14 juillet, de la rentrée des classes, des soldes, de Noël ou des vacances scolaires : un sujet qui revient chaque année à la même époque. Pour ce qui est de nos détracteurs, on attend année après année les nouvelles perles qu’ils vont inventer pour tenter de nuire à « la plus belle des chasses ». Avouons tout net que le millésime 2021 nous a beaucoup déçu. Qu’on en juge.

Onze sénateurs, écologistes pour la plupart, ont déposé une (nouvelle ?) proposition de loi visant à faire interdire la chasse à courre. Aux vues de l’exposé des motifs, repris à peu près mot pour mot des précédentes propositions, on peut légitimement penser que les huit parlementaires signataires, élus de départements où l’on ne chasse pas à courre, n’ont pas eu la curiosité d’aller vérifier sur le terrain leurs allégations ; dommage, ils auraient rapidement compris leur inexactitude. Mais que dire des parlementaires de Gironde, Ille-et-Vilaine ou Loire-Atlantique, signataires de cette PPL ? La vènerie est à leurs portes, vivante, pratiquée avec passion par des centaines (voire des milliers en Gironde) des administrés qu’ils sont censés représenter, et, à tout le moins, consulter sur leurs réflexions. Il semblerait bien que le dogme écologiste les ait dissuadés de pousser plus avant leurs recherches. L’exposé des motifs de cette PPL est un tissu de contre-vérités, auxquelles la Société de Vènerie a répondu point par point dans un courrier adressé personnellement à chacun de ses signataires. « Il n’est pire aveugle que celui qui ne veut pas voir » prétend le dicton. Nous en avons là une belle illustration.

Particulièrement regrettable lorsqu’il s’agit d’élus de la République, cette initiative législative relève d’une tendance à laquelle un nom est désormais donné : l’ultracrépidarianisme, soit l’art de parler de ce qu’on ne connaît pas.

Autre exemple de cette tendance favorisée par l’essor des réseaux sociaux, qui met en demeure les hommes publics de s’exprimer sur tout, les affirmations poignantes de nullité de Julien Bayou, secrétaire national du parti Europe Écologie Les Verts. Dans une récente interview accordée à France Info, il déclarait sobrement : « La chasse, y en a marre… Ce qu’on nous présente comme une activité rurale, c’est une fake news complète parce que la chasse est aujourd’hui un hobby de citadins, de cadres CSP+ et la majorité des ruraux, les vrais, est opposée à la chasse parce que ce sont des nuisances sans fin ».

France Info, Libération et le Monde, peu suspects de sympathie pour le monde cynégétique, ont apporté un démenti factuel et formel à ces affirmations, dans une session de « fact-cheking » désormais devenue la règle dans beaucoup de médias. De fait, la chasse demeure très ancrée dans la ruralité. Et pourtant, n’y a-t-il pas matière à se réjouir de ce que des citadins souhaitent jouir, eux-aussi, des plaisirs de la nature ? Un mur-frontière trumpien devrait-il être construit, ceinturant le périphérique parisien et les grandes métropoles, afin de contenir les urbains dans leurs villes et les ruraux dans leurs campagnes ? Que signifie cette stigmatisation des uns et des autres, cette assignation à résidence de nos concitoyens ? Un nouveau type de ségrégation ? Un projet de société ? Merci, mais non merci. La chasse est une des activités de la ruralité, dont elle partage les espaces avec les autres ; elle y accueille chaleureusement tous ceux qu’elle intéresse.

Le mot de la fin de l’extrémisme vert revient à cet automobiliste de l’Oise qui, croisant une chasse à courre en forêt de Compiègne, a sciemment foncé sur un chien avec la ferme intention de l’écraser et de le tuer. Le chien est miraculeusement rescapé de la collision, mais que penser de la haine savamment attisée par l’escrologiste picard à moustache qui pousse ses affidés à de tels comportements : tuer des chiens pour sauver des animaux ? Les activistes anti-chasse organisent avec talent leur propre et prochaine disparition. Réjouissons-nous !

20 ans de l’Association des Jeunes Veneurs

Le 28 août dernier, l’Association des Jeunes Veneurs a sonné le rappel auprès de ses adhérents et anciens membres pour venir fêter ses 20 ans au Château de Boussay (37). Près de 300 jeunes et anciens jeunes ont ainsi pu se réunir pour fêter comme il se doit cet anniversaire qui leur a réservé de nombreuses surprises !

Les plus aguerris et lointains d’entre eux sont arrivés dès le vendredi soir pour « se mettre en lèvres » de l’ambiance festive qui rythmera l’ensemble du week-end.

Le samedi matin, l’Assemblée Générale a permis à Paul Cotreuil de faire la transition avec le nouveau président de l’association : Aymeric Boutrot (Rallye Saintongeais). Une conférence a ensuite été animée par Messieurs Gilles de Becdelièvre, propriétaire de Boussay qui nous a présenté ce lieu chargé d’histoire de Vènerie, mais aussi par Antoine Gallon, responsable de la Communication de la Société de Vènerie, Laurent Facques, responsable des marcheurs, et Jean-Michel Leniaud, ancien directeur de l’École des Chartes et actuel Président de la Société des Amis de Notre Dame de Paris. Nous les remercions une nouvelle fois pour leurs interventions.

C’est au son des fanfares et des chants faisant écho dans la cour du château que nous avons pu déjeuner tous ensemble. Il faut dire que nos participants eurent besoin de toutes leurs forces pour l’après midi qui leur était réservée !

C’est les panses bien remplies et les gorges abreuvées que chacun a pu ensuite revêtir son plus beau déguisement pour constituer les équipes. Mention spéciale pour l’équipe des anciens du Staff de l’AJV avec le thème « où est Charlie ? » (Cf. photos). Les participants sont dirigés vers le bois attenant au château où tant de laissers courre ont débuté. Au programme : relai ventriglisse, trompe sourde, équipement du cheval, dressage d’un boxe, course d’obstacles, time’s up chasse ou encore dégustation à l’aveugle de mets de choix (tête de veau, appâts de pêche, cervelle d’agneau, fromage douteux…). Se prêtant au jeu et faisant preuve d’un réel esprit de compétition, les différentes équipes se sont dépassées plus que jamais et ont pu partager tous ensemble ce bon moment.

Comme le veut la coutume, c’est sur une brisée fumante que nous avons découplé notre meute de participants dans la voie du chevreuil. Il faudra peu de temps pour qu’un bon brocard soit attaqué. Rapidement bousculé par le poids des chiens, il se dirige vers le parc du château. Ses ruses ne lui serviront qu’un temps et il ira finalement à l’eau dans les douves de Boussay qui n’en attendaient pas moins. Plus mordants que jamais, les fins limiers de l’AJV l’aboient et finissent, après une chasse d’un peu moins d’une demie heure, par couvrir notre brocard : Paul Cotreuil. Curée au château, les honneurs à Monsieur Gilles de Becdelièvre.

Activité finale, un morceau du Sud-Ouest a été importé exceptionnellement pour l’occasion : une arène garnie de quelques vachettes. L’équipe d’animation avait préparé de nombreuses activités qui nous ont tous tenu en haleine. Chacun a pu en profiter pour prendre sa dose d’adrénaline et se frotter à ses dames cornues pour le plus grand plaisir des spectateurs.

Malgré quelques bleus, chacun a pu ensuite mettre ses habits de lumière pour le cocktail dans le parc du château. Rythmé par le déclin du jour et le traditionnel concours de trompe, il a permis à chacun de débriefer cette journée riche en émotions. Dîner guinguette en extérieur avec comme toile de fond la façade éclairée de Boussay. Gage de qualité, le tournebroche Gueuleton a pu servir des culottes d’agneaux au miel et leurs pommes de terre de Noirmoutier, le tout arrosé par notre cuvée spéciale 20 ans.

Enfin, après la remise des prix aux équipes victorieuses et les divers messages de soutien reçus de nos amis Pierre de Rouälle, Instachasseresse, Pierre de Boisguilbert ou encore… Jean Lassalle, le ciel de Boussay s’est éclairé de notre feu d’artifice. Jusqu’au bout de la nuit, les 20 ans de l’association ont été dignement fêtés, chantés, sonnés et bien sûr arrosés. Une chose est sûre, le Raout 2021 a été l’occasion pour tous de se remémorer les bons souvenirs, plus ou moins lointains, passés avec l’Association des Jeunes Veneurs. La réussite de cet anniversaire nous laisse présager au moins 20 ans d’un avenir au service des jeunes, de la Vènerie et de la Ruralité.

Vers un petit livre vert ?

En matière d’environnement, un même cycle semble devenu la règle : un événement soulève une vague d’émotion, qui impose à son tour une nouvelle règlementation, nécessairement restrictive.

Que des accidents ou des catastrophes naturelles ou industrielles soulèvent des interrogations, c’est bien naturel. Cela étant, la raison finit par être sacrifiée sur l’autel de l’émotion.

Cette émotion devient, non le point de départ d’une démarche de réévaluation, mais le pivot de toute nouvelle réglementation. À aucun moment l’émotion ne permet de faire un état des lieux de la réglementation existante : l’émotion ne tolère pas ces demi-mesures. Il lui faut nécessairement instaurer une nouvelle loi, toujours plus restrictive, sans chercher à renforcer ou faciliter les conditions d’application des normes en vigueur.

À aucun moment l’environnement n’est traité selon le syllogisme cher aux juristes : exposé de la situation, exposé réglementaire, confrontation de la situation avec l’état de la réglementation. Cette méthode est pourtant la seule à même d’avancer de manière pragmatique et dépassionnée sur des sujets aussi fondamentaux que celui de l’environnement.

L’émotion court-circuitant la réflexion, elle devient le creuset de toutes les caricatures : les agriculteurs sont des pollueurs, les éleveurs sont des sadiques, les chasseurs tuent des cyclistes.

Exception, émotion, généralisation : tel est le triste triptyque qui tend à se généraliser.

L’émotion n’a pas besoin d’experts, elle a besoin de coupables, de gentils et de méchants. Il faut simplifier le raisonnement pour mieux condamner, sans nuance. Ces méthodes relèvent sans contredit de la terreur intellectuelle dont nous devenons les otages.

Grâce à l’émotion, l’application de la règle de droit finit par devenir secondaire. L’émotion justifiant tout, pourquoi ne pas aller crever les pneus du voisin qui ne partagerait pas les mêmes convictions que les miennes ? Ce n’est malheureusement pas une question rhétorique : les agriculteurs se font agresser par des activistes, un collectif appelle au sabotage des véhicules ou produits contraires à leur goût. Que dire du sabotage des miradors ou de la citronnelle projetée sur nos chiens ?

Mais cela n’a aucune importance tant que c’est validé par les experts auto-proclamés de l’environnement. Ces prétendus experts jouent sur la peur, l’émotion et la culpabilité pour ramener à eux les brebis qui ne penseraient pas comme eux. Après les manifestations du 18 septembre, un « humoriste » d’une radio publique nous décrivaient comme des Nordahl Lelandais, cruels, cons, armés et tueurs de cyclistes : aucune importance, son émotion vaut plus que notre expertise.

Le marketing de l’environnement a supplanté la connaissance de l’environnement.

Ne nous laissons pas entrainer vers ce marketing écologique qui empêche la nuance et le débat. Il est inquiétant, et il empêche un débat apaisé et constructif sur les questions environnementales pourtant fondamentales.

Saint-Exupéry le disait bien plus poétiquement : « Celui qui diffère de moi, loin de me léser, m’enrichit. »

Paraphrasant Clémenceau : l’écologie est chose trop sérieuse pour être confiée à des militaires verts ; à nous chasseurs de prendre toute notre part aux débats. A défaut, nous serions contraints de digérer leur Petit Livre Vert ; on a connu les dégâts de son prédécesseur Rouge…

Les opposants à la chasse à courre écrasent un chien de vènerie

Samedi 2 octobre, la forêt de Compiègne a été le théâtre de ce que l’obscurantisme des opposants à la chasse à courre peut produire de pire sous la direction de leur leader picard.

Victime de la haine de ses opposants, sous des prétextes qui n’ont, au bout du compte, rien à voir avec ce qu’est notre mode de chasse, la Futaie des Amis, qui chasse en forêt de Compiègne, a vu un automobiliste anti-chasse percuter volontairement un de ses chiens. Miraculeusement, le chien qui a été projeté à plusieurs dizaines de mètres s’en sort indemne. L’équipage a déposé plainte contre l’automobiliste dont les plaques minéralogiques avaient été relevées : mise en danger de la vie d’autrui, provocation volontaire d’un accident, sévices graves à animal, violence aggravée avec arme (son véhicule) et délit de fuite. Les témoins sont nombreux qui confirmeront le bienfondé de la plainte de l’équipage.

Tuer des chiens pour lutter contre la vènerie : c’est donc là la nouvelle stratégie de nos opposants.

Comment la défense de la condition animale s’y retrouve là-dedans ? On ne saurait le dire.  A moins que leur « combat » insensé ne soit d’une autre nature…

Société de Vènerie

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