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A la Une, cette semaine

Chaque semaine, nous sélectionnons pour vous les meilleurs articles que la presse consacre à la vènerie. Les titres de presse qui s’y intéressent sont divers, leurs centres d’intérêt sont multiples ; tous contribuent à faire découvrir la chasse à courre à leurs lecteurs.

[Extrait MAGAZINE POLKA] « La photographe Céline Anaya Gautier a rendu visite à une soixantaine d’équipages en France. Son travail met à mal un bon nombre de préjugés, dont celui de la non-mixité sociale. La vénerie compte aujourd’hui 10 000 pratiquants, de tous les milieux. »

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[Extrait LA DÉPÊCHE DU MIDI] « Pourquoi faudrait-il que l’écologie soit réservée à certains et interdite à d’autres ? La nature n’appartient à personne et nous avons l’obligation de la partager. N’oublions pas que les chasseurs participent à son entretien. Il n’y a pas de chasse gardée. Je comprends que des gens »

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[Extrait LE PLOERMELAIS] « Les uniformes renvoient à une autre époque, une autre monde, celui de l’aristocratie mais en réalité, il n’en est rien. Nul besoin d’un particule pour devenir veneur, c’est en tout cas ce qu’avance François Derval ».

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[Extrait LIBÉRATION] « Willy Schraen, patron de la Fédération Nationale a le discours offensif : « Arrêtons de nous cacher, nous sommes fiers de ce que nous sommes. Cela fait du bien qu’à la tête de l’Etat, les chasseurs soient reconnus comme des gens qui contribuent à la biodiversité de nos territoires », eux qui ont été longtemps oubliés, mis de côté ». 

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Antoine Gallon, Responsable de la communication de la Société de Vènerie
En direct sur les ondes de Mega FM lors de la fête de la Sange :

 

 

Une nouvelle saison sous le signe de la solidarité

La saison 2018/2019 qui s’est ouverte ce week-end débute dans un contexte sociétal délicat. Gérard Larcher, Président du Sénat, que nous avons croisé dans les allées de la Fête de la Chasse de Compiègne, nous en livre une analyse précise.

Dans ce contexte, chaque veneur doit s’astreindre à une stricte discipline qui s’articule en trois points :
L’éthique
 c’est en pratiquant une belle vènerie, respectueuse du travail des chiens comme de l’animal chassé, que nous saurons nous pourrons affirmer notre fierté de perpétuer la pratique de la chasse à courre.
• La pédagogie 
plus que jamais cette saison, chaque veneur, suiveur, amateur doit expliquer la chasse à courre, en être un ambassadeur militant. Pas auprès de nos opposants déclarés, bien sûr ! nous n’avons que peu de chances de leur faire changer d’opinion. Mais auprès de l’immense majorité de ceux qui ne connaissent pas notre mode de chasse et qui donc s’en font une image biaisée par la propagande de nos adversaires.
• La courtoisie
 elle constitue, sans aucun doute, une condition incontournable de la perpétuation de la vènerie. Courtoisie avec les riverains de nos territoires de chasse, avec les personnes croisées durant la chasse ; mais aussi courtoisie avec l’ensemble de notre environnement : concitoyens, élus, correspondants locaux de nos journaux. Par notre attitude, nous devons incarner un style de vie dont le respect de l’autre est une composante essentielle.

Terminons par les propos de Willy Schraen, Président de la Fédération Nationale des Chasseurs. Durant toute la crise de la saison passée, le soutien de la Fédération Nationale des Chasseurs a été déterminant pour protéger la vènerie ; ce soutien a incarné la « solidarité entre chasseurs » qui est si importante. Son message de rentrée sonne comme un encouragement auquel aucun veneur ne peut demeurer insensible.